Depuis quelques temps je couche sur le papier électronique une fiction,
Il y a quelques rebondissement, mais je pensais que ça irai vite,
Trouver du temps s'avère difficile pour terminer ce récit qui n'est pas si court que ça.
Et maintenant je me pose la question de savoir si je continue,
Surtout qu'il n'est pas illustré, et qu'il ne le sera probablement pas.
Mais pour en avoir le coeur net, je vais publier l'introduction, sans mise en page.
Organiser un sondage est un peu long, mais vos commentaires me guiderons,
Il m'en suffit peut être même d'un ou deux bien motivé pour continuer... bonne lecture.
"
Elle fait construire sa maison, ce n'est pas toujours simple. Le chantier prend sans cesse du retard, déjà plusieurs semaines alors que le gros œuvre est à peine
achevé. Les intempéries n'y ont pas été pour rien. Mais une fois la maison hors d'eau hors d'air elle espérait que les artisans mettraient tout en branle
pour rattraper le temps perdu... c'était un doux rêve.
Alors pour essayer de dynamiser la situation elle a décidé de passer sur le chantier. Sur place elle trouve deux hommes. Un
plaquiste monte une cloison sans grande énergie, et un électricien réfléchit, ou dort, elle ne saurait dire. Pour s'assurer qu'il ne dort pas, elle s'approche et commence à lui poser des
questions. Lui demande des conseils pour sa cuisine. Il répond en mettant en avant tout son savoir faire. Elle n'est pas dupe et sait bien qu'il dit des âneries de temps en temps juste pour en
rajouter. Il en fait des tonnes jusqu'à l'arrivée de son patron qui lui amène des fournitures. Elle passe donc au patron. Le but n'étant pas réellement d'avoir des réponses, mais surtout
d'affirmer sa présence.
Au bout d'une demi heure elle va vers le plaquiste avec une approche similaire.Mais bien qu'il réponde respectueusement, elle sent une certaine réticence. Après seulement quelques minutes, il
commence à en avoir marre de cette cliente un peu trop présente à son goût. Il lui demande si elle veut un conseil pour faire avancer le chantier. La réponse affirmative fuse. Il lui explique
alors qu'il peut l'aider à faire travailler plus sereinement les ouvriers. Il suffit qu'il construise une boîte magique.
Magique ?
"
Je vous en remets une tranche ?
"
Alliant le geste à la parole, il monte une cloison à un mètre du coin de la pièce. Il invite la bavarde à entrer dans cet espace en regardant le coin du fond. Elle
n'est pas bien sur de comprendre.
Soudain elle réalise qu'elle est dans la boîte. Elle se retourne juste pour s'entendre dire que c'est la boîte du silence, qu'elle peut demander à sortir quand elle veut mais que ça ralentira le
chantier. Puis l'homme visse la quatrième face de ce placard sans porte. Elle se sent piégée, imaginer rester là lui est difficile, mais se mettre à dos les intervenants ne lui fait pas plus
envie.
Le temps de se remettre les idées en place, elle s'assoit à même le sol. Puis elle entend des bribes de conversation entre les hommes. Elle comprend qu'elle aussi en avait fait trop, elle les
avait gavé tout simplement.
Il est 11h à peu près, elle trouve le temps long mais en tendant l'oreille elle réalise qu'ils bossent sérieusement. Alors elle imagine sa sortie, elle se voit offrir quelques excuses et des
encouragements.
"
J'en ai déjà écrit quatre ou cinq fois cette dose et je n'en suis qu'a la moitier...
Je ne me prends pas pour un écrivain.
Vous connaissez mon blog, mes envies, mes histoires, mes récits passés, ...avez vous envie d'en savoir plus ?
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