Idées Ô de verso

Est-ce votre bonne étoile qui vous mène ici ? Sur un blog piloté par un Ange.

Encore un ! Allez-vous dire... mais non je ne suis pas asexué, mais non je n'ai rien à voir avec les Dieux, revenons en plutôt à l'origine... le messager.

Étrangement "Ange" est un pseudo souvent utilisé par des adolescentes ou sur des sites pornos... mais rappelez-vous que c'est aussi un prénom, et c'est le cas sur ce blog.

A 33 ans, je vais tenter de vous servir, vous délivrer des messages torrides, vous accompagner dans la recherche de plaisir, et pourquoi pas vous guider dans des mondes qu'il vous reste à découvrir

Un peu de nerf, il manque de rythme ton article ! Me dirait Barbara...

Mais qui est-ce ?

C'est la femme avec qui je vis depuis bientôt trois ans, trois années ou l'ennui ne s'est jamais installé. A 37 ans, c'est son coté taquin qui la caractérise le mieux.

A nous deux nous formons un couple aux cultures antagonistes, pour moi les sciences et les maths, pour elle les lettres et les arts.

Pour définir notre type de relation, je vais vous relater les premières heures de notre couple qui n'en était pas encore un officiellement... Retour vers le passé.

Comme à l'accoutumée, je me connectais sur un chat sur lequel je passais de longues heures à cette période. Barbara était là , nous avions déjà échangé quelques mots par le passé mais rien de passionnant. Mais ce soir elle était là ! Pas uniquement sur le chat, non, elle était là dans la dans la même ville que moi. Elle était venue se changer les idées à Toulouse. Alors pour fêter ça tout les soir elle rencontrait des contacts du chat, le plus souvent des groupes complets. Mais ce soir elle n'avait rien de prévu, alors on a décidé de se retrouver, j'ai enfourché la moto, ayant pris soin de prendre un second casque et j'ai filé la chercher pour aller boire un verre en ville... à la Tireuse... ça s'invente ?

Elle m'avait quand même prévenu qu'il y aurait certainement un couple de copain à elle, dont un membre du chat que je connaissais à peine. Barbara s'est un peu rapprochée, mais sans plus... La soirée c'est très bien déroulée, le bar allait fermer ses portes... que faire... après hésitation je l'invite à boire un thé chez moi... quelque minutes plus tard nous y étions.

Nous avons joué à un petit jeu stupide, pariant un massage... j'ai perdu, j'ai commencé par le dos, au dessus du tee-shirt, puis j'ai dégrafé le soutien gorge, et relevé le tee-shirt.

A ce moment, nous n'avions pas d'arrières pensées sexuelles. A vrai dire, moi je profitais de la douceur de sa peau et ça me suffisait ce soir là, et elle pensait qu'elle ne m'embrasserait pas.

Il faut que je précise que pour elle si un mec embrasse bien c'est très probablement un bon coup, et sinon c'est la cata assurée. Donc en ne m'embrassant pas elle se garantissait de ne pas s'embraser et de ne pas être déçue non plus... resterai le mystère.

Bref la soirée, ou devrais-je dire la nuit, avançait dans une ambiance décontractée et sans ambiguïté.

Mais l'heure avancée rendait le retour en moto de moins en moins raisonnable, sans parler du froid, alors la solution de dormir chez moi s'est imposée. D'un SMS elle prévint l'amie chez qui elle était logée pour ne pas susciter d'inquiétude. Mon lit est grand, plus confortable que la banquette, et puis ça évitait de sortir des draps en pleine nuit... alors on s'est accordé à dormir tout les deux dans mon lit. Au moment de se coucher elle gardait son jean, je lui ai demandé si c'était dans ses habitudes... elle l'a alors retiré, restant en culotte et tee-shirt.

J'ai repris le massage qui c'est transformé en caresses, puis ma main a glissé sur sa culotte.

L'application avec laquelle je massais son entrejambe à travers le tissu ne l'a pas laissée insensible. Ce soir là ce sont mes mains qui lui ont procurées la plus grande jouissance. Et même si il y a eu pénétration après cela, ce ne fut que secondaire, elle comme moi avions déjà pris notre plaisir.

Plusieurs jours plus tard elle m'avoua avoir eu l'impression de faire l'amour avec une femme, de la part d'une bissexuelle j'ai pris ça comme un compliment.

Ca c'est la première partie... Voilà la suite.

Nous nous sommes relevé pour prendre une douche, puis une fois recouché nous avons à nouveau discuté.

Bon nombre de questions était d'ordre sexuel. Entre autre je lui ai demandé si elle pratiquait la sodomie. Sa réponse fut positive, même si par la suite elle précisa qu'elle ne la pratiquait qu'avec des relations suivies.

Sur ces bonnes paroles le sommeil nous emporta.

Au petit matin, la chaleur de ma douce poussa mes mains à se promener sur son corps, ses réactions épidermiques amenèrent mes lèvres à les rejoindre. Son odeur me mettait en émois, ma verge était raide. j'ai ôté le drap pour mieux apprécier la vue de son dos et de ses fesses.

Ma bouche est descendue le long de sa colonne vertébrale pour arriver sur son postérieur que mes mains ont massé. Ma langue s'est alors aventurée dans le sillon lubrifiant ainsi l'entrée de son anus. Les ondulations de son corps et ses gémissements m'encourageaient. J'ai rapidement attrapé un préservatif et avec peu de préparation et pour seul lubrifiant ma salive, mon sexe est entré en elle.

Certes je ne suis pas Rocco, mais l'assaut fut fougueux, presque violent. L'annonce de ma jouissance déclencha la sienne.

Et voilà comment en quelques heures nous avions déjà montré que nos plaisirs sexuels s'étalaient sur un éventail bien large. Et la suite nous a montré que cet éventail est vraiment très large en fait...

Les prochains articles vous en révéleront plus encore, soit au travers de fantasmes soit sur des bases réelles...

A vos commentaires...

Certaines discussions marquent nos esprits. Ce jour là avec Barbara, si je ne sais plus d'où était partie la conversation, je sais en revanche ou elle avait glissée. Nous parlions désormais de pipe "intégrale", entendez éveil et stimulation jusqu'à éjaculation avec et dans la bouche. Elle me dit qu'elle la pratique de temps en temps, que pour elle ce n'est pas exclus et que chaque mec a un goût différent. Elle m'avouera même qu'avec un ex le goût était tellement amer qu'elle avait tout recraché, et qu'elle avait du se laver la bouche après.

J'écoute attentivement son analyse riche en expérience et ne m'aventure pas sur le goût du mien qui reste encore un mystère pour elle. C'est de fait sa conclusion... "d'ailleurs, je n'ai pas encore goutté le tien !"

A cette période nos actes sexuels se succédaient à bon rythme, nous comptions les jours ou ils ne dépassaient pas le nombre de deux, et ils étaient rare. Cependant ce jour là, nulle pipe intégrale, pas plus que le lendemain.

Deux jours plus tard, nous étions installés sur le lit quand ma chérie a commencé à me caresser, ce qui eu rapidement comme effet de dresser mon sexe. Son nez chemine au travers des poils de mon torse, son visage continue sa course et sa langue titille mon gland avant qu'il ne disparaisse dans sa bouche... j'adore.

Elle admire son oeuvre, mon sexe est luisant de salive. Elle décide alors de profiter pleinement de cette érection, elle vient à califourchon sur moi et ondule d'avant en arrière. Dans cette position, mon sexe bien au chaud est massé par son vagin. Je sens son plaisir qui monte, ses coup de reins son de plus en plus fermes.

Mais c'est autre chose qu'elle veut, il n'y a pas d'ambiguïté lorsqu'elle laisse mon sexe érigé ressentir la fraîcheur de l'air ambiant et qu'elle se met à quatre pattes. Elle veut sentir mon sexe taper bien au fond, elle veut se laisser aller, et dans ces cas là c'est la levrette qu'elle veut ! Alors je me place derrière elle et dès le premier coup de reins je vais au fond, puis je varie l'amplitude et la fréquence, le plaisir est partagé. Mes coups de reins son de plus en plus violents et rapides, elle sait que je ne vais pas tarder à venir, et me lance comme un ordre "Jouit moi dessus !"

Juste avant l'éjaculation je me retire donc, et m'aidant de la main je me vide au creux de son dos, mon sperme coule dans le sillon formé par sa colonne vertébrale. La vue de ce liquide sous mon nez rappelle à ma mémoire la discussion au sujet de son goût.

J'approche mon visage, je lèche et aspire mon sperme encore chaud. Il se mélange à ma salive, puis doucement je vais coller mes lèvres à celle de ma tendre aimée et lui roule une pelle qui restera à jamais gravée dans nos mémoires...

Jouer à trois, ça trotte dans la tête de nombreuses personnes... Pas dans la votre ?
Babara a déjà goutté au plaisir d'être pocédée par deux hommes en même temps et quand elle en parle on voit la petite étincelle dans ses yeux qui en redemande.

J'aimerais lui apporter à nouveau un tel plaisir et je sais aussi que peu de temps avant elle avait offert à son ex un gode d'un genre particulier. De ceux qui se fixent à la verge et aux testicules à la façon d'un cockring et qui offre à l'homme un second sexe pour satisfaire simultanément vagin et anus de sa femme. Mais l'histoire fit qu'il ne fut jamais utilisé.

En connaissant tout ces éléments, ce jour ou nous faisons l'amour, elle sur le ventre et moi la pénétrant, je lui titille l'anus et lui demande de fermer les yeux quelques instants. Quand je reviens sur elle, je pénétré à nouveau son vagin, puis à l'aide d'un petit gode en verre je commence à lui ouvrir le 36 fronces.

La première réaction de plaisir est rapidement suivit par une question, "Mais comment ça se fait que tu as un gode ?".

Cette question est loin d'être surprenante car Barbara sait que mes conquêtes féminines ont été peu nombreuses et peu suivies. Je lui répond rapidement que j'étais le seul à m'en être servi. Pas besoin de lui faire un dessin, et malgré la surprise elle reprend une attitude plus détendue, et savoure le plaisir de cette double stimulation qui peut être lui rappele de bons souvenirs

Pour passer à la vitesse superieur j'ai besoin qu'elle ferme à nouveau les yeux et d'un peu plus de temps, elle accepte volontier. Elle trouve le temps un peu long et me demande si tout allait bien, après une réponse affirmative je reviens de la salle de bain.

J'ai prévu de lui faire une position que j'avais imaginé quelques mois plus tôt, je voulais la nomé prise du scorpion, mais c'est déjà pris, alors elle n'a pas de nom. Je masturbe un peu mon sexe pour qu'il retrouve de la vigueur dans son préservatif et le présente à l'entrée de son petit trou déjà préparé par le gode en verre. Après quelques va-et-vient je me retire, non sans aprécier la vue. Puis, doucement je fait pénétrer dans son vagin un gode souple nettement plus gros que le précédent, plus gros aussi que mon sexe.
Barbara savait déjà ce qui l'attendait, elle voulait maintenant être bien remplie, ce que je fit rapidement en la sodomisant. Ce qu'elle ne savait pas encore, c'est que moi aussi j'étais bien rempli !

Le gode que j'utilisait était un double dong dont une extrémité était dans son vagin et l'autre stimulait ma prostate.

Malheuresement, si cette position ést très agréable, le gode lui ne tient pas en place dans mon cul quand je suis en position accroupie, il est systématiquement chassé par mes coups de reins. Barbara propose d'essayer de se mettre sur le dos pour proffiter aussi du calibre dans son petit trou, mais le problème perciste. C'est à genoux que nous finissons, chacun de son coté du gode.

Au delà des orifices, ce sont nos têtes qui furent comblées ce soir là.

Et voilà comment Barbara apprit que mon cul n'avait jamais été visité par quelqu'un mais qu'il n'en était pas pour autant vierge. A bientôt pour la suite de nos expériences...