Les idées O de VersO
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Cette histoire commence par un échange de SMS...
¤J'ai parlé de ton cul à ma copine et de tes penchant exhib... elle veux te voir nu maintenant¤
¤LOL, c'est celle dont tu m'as déjà parlé ?¤
¤Oui. Je lui ai dit que j'étais sur que c'était jouable...¤
¤Euh... tu t'es peut être avancé là...¤
¤Tu fais bien le ménage à poil ?¤
¤Euh... Oui¤
¤Faudra juste que je sache quand tu fais le ménage.¤
¤Pas faux, mais pas certain que ce soit une bonne idée...¤
J'habite au second étage d'un batiment sans vis à vis dans une belle résidence arborée.
La complice à l'origine des SMS est déjà venu dans mon appartement et elle sait qu'en se placant bien on peu avoir une bonne vue dans mon séjour salon.
Il y a bien longtemps que je fantasme sur le fait de m'exhiber devant les yeux avides d'une inconnue, mais de là à organiser cette rencontre. Et puis il est probable qu'un jour je la rencontre
cette copine dont elle me parle souvent... Bref je ne suis pas trop chaud.
Quelques jours plus tard, l'idée à fait son chemin, après tout que se soit sa copine ou une voisine qui passe dans le jardin, quelle importance ?
Alors ce jour là, juste avant de partir du boulot je lui envoies un SMS...
¤Après le boulot, le ménage aujourd'hui...¤
¤Désolé mais je ne peux pas t'aider aujourd'hui, je suis super occupée¤
Pas trop refroidi par cette réponse, je retente le diable la semaine suivante...
¤Je rentre dans 20 min pour faire le ménage¤
¤Ah cool tu rentres chez toi, j'ai trop envie de toi, j'arrive.¤
Je ne suis pas certain qu'on soit sur la même longueur d'onde. En effet quelques minutes après être arrivé à l'appartement, elle sonne et me saute dessus. Nous baisons frénétiquement plusieurs fois dans l'après midi. En partant elle me dit qu'elle est désolé pour mon ménage, je lui répond simplement que ce n'est pas grave, que je le ferai mardi.
Contre toute attente, le mardi suivant c'est elle qui m'écrit...
¤Tu fais quoi ?¤
¤Bah d'ici 1h je vais faire le ménage... je n'ai pas pu le faire la dernière fois ;-)¤
¤Ah bah oui... je te laisse le faire alors... donnes toi bien¤
De retour à l'appart, je prends mon temps avant de m'ateler à la tâche, je vais faire un tour sur le balcon. Au moment ou je sors, il me semble voir deux ombres bouger en face, mais ce sont
surtout les ricanement et le "chut" que le vent pousse vers moi qui me font réaliser qu'elles sont là. Alors c'est partit pour le grand jeu. Je me met torse nu sur le balcon avant de rentrer
dans l'appartement. Pour les faire languir un peu, je fais les poussières juste torse nu. Puis je vais chercher l'aspirateur, et force un peu le show autour du manche comme si c'était une barre
de pole dance, me voilà nu pour passer l'aspiro en remuant bien mon postérieur devant les fenêtres. Vient le tour du balais éponge, je profite du remplissage du seau pour jeter un oeil
discret dans le jardin, et là c'est une surprise de taille, elles ne sont pas deux mais toute une colonnie de six ou sept il y en a même avec des jumelles. Le show continue de plus
belles alors que je passe la serpillère, mais je reste bien dos aux fenêtres car de savoir tout ces yeux sur moi à fait naitre une belle érection. Arrivé à la moitié du salon je saisi mon
téléphone sur la table pour envoyer à ma complice...
¤Viens vite... seule¤
Alors que je termine juste le ménage, la sonette retentit. Je vérifie par le judas que c'est bien ma complice. J'ouvre la porte le sexe en avant et
lui saisi les bras pour l'agenouiller rapidement. Sans temps mort, mon sexe se présente à sa bouche et je lui maintient la tête pour qu'elle me suce sans relache.
Je lui dit que c'est pas bien ce qu'elle a fait, que ça me fait bander quand même, et que pour cette raison elle va prendre cher dans sa bouche. Joignant le geste à la parole, mes mouvements
deviennent de plus en plus amples et rapides. Alors que nous sommes toujours chacun de notre coté du seuil, les bruits du succion qui résonnent dans le couloir accentuent encore mon
érection, je l'étouffe à moitier en allant et restant bien au fond de sa gorge, les réflexes de déglutission créent des sensations incroyables. Ses yeux sont plein de larmes, je ne lui avait
jamais bourré la bouche à ce point. Puis soudain l'ascenseur se déclenche pour aller chercher quelqu'un, c'est le signe qu'il faut en finir, et c'est la pointe d'exitation qui va me faire
décharger. Je maintient sa tête et en quelques coup de queue bien profond je me vide littéralement dans sa bouche. Je me retire et ferme la porte juste au moment ou celles de l'ascenceur
s'ouvrent. J'observe par l'oeilleton, une femme en sort, visiblement sa copine qui ne comprend pas vraiment ce qu'elle fait à genoux devant la porte. A peine quelques mots et elles s'en
vont...
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Et tu serais l'instigatrice ou la copine voyeuse ?
Gourmande...