Les idées O de VersO
Un récit que j'ai lu hier soir a fortement inspiré mon envie du jour.
Alors que j'arrive à pas feutrés dans le salon du mobile-home loué pour les vacances, elle, elle se trouve près de la fenêtre, elle regarde captivée ce qui se passe
dehors, au point qu'elle ne m'entend pas m'approcher.
En léger retrait je regarde dans la même direction qu'elle, et comprend rapidement l'intérêt soudain pour la terrasse du voisin... Il est tranquillement en train de
prendre son petit déjeuné à poil, et surtout notre copine est en train de lui tailler une petite pipe matinale, plus fougueuse que petite en fait.
Il n'en faut pas moins pour que ma verge m'ordonne de faire quelque chose, je me plaque contre les fesses à peines couvertes qui sont devant moi, et commence
quelques caresses, tout deux conservons cependant nos yeux rivés sur la scène.
Le mec à une belle queue et
ses bourses sont entre de bonnes mains, dommage que je n'ai pas d'appareil photo sur moi, et j'ai aussi les mains prises, l'une c'est posée sur un sein, pendant que l'autre joue dans un endroit
terriblement chaud et de plus en plus humide.
Je ne saurai dire ce qui me fait le plus d'effet, l'action qui se déroule sous mes yeux, ou ce corps brulant de désirs qui est collé et ondule contre le mien.
Toujours est-il que mon sexe devient de plus en plus chaud et tente de traverser le tissus qui le sépare de ces fesses prêtes à le dévorer.
C'est le moment de la délivrance pour le voisin qui lâche une dose de foutre abondante devant le sourire ravit de la coquine. C'est le moment ou naturellement ma
voyeuse abandonne tout tissu et il ne faut qu'un instant pour que nos sexes s'unissent. Tellement chauffé par ces préliminaires, nous partons à grande vitesse dans un rapport presque
violent.
Nous commençons debout, elle a le visage quasiment écrasé sur la vitre, mes mouvement sont amples. Pour temporiser un peu et pouvoir la défoncer en profondeur, nous
nous installons sur le banc, il n'est pas très large mais nous permet des positions sympathiques.
Je sens la pression qui monte, pour le bouquet final nous adoptons la levrette, mes mains agrippent vigoureusement ses hanches et mes coups de boutoir résonnent
dans son corps. Alors qu'elle est secouée par un orgasme je donne tout ce que j'ai pour le prolonger encore un peu, tout mes efforts pour me retenir sont réduits à néant par ses spasmes vaginaux
et ses petits cris en vibrato qui me font me vider les couilles dans de dernière pénétrations profondes.
C'est alors que nous entendons des applaudissements...
Les artistes du premier acte étaient devenus les spectateurs du deuxième acte !