Les idées O de VersO

Laissez moi vous conter mon histoire... Aussi imaginaire soit-elle...

Tous commence sur internet, depuis longtemps je précise mes envies sur un blog.
Domination et soumission en sont les clés. Dans l'esprit collectif, DS rime avec violence, hors il apparait clairement dans mes propos que ce n'est pas le cas pour moi.

Dans les différents domaines du BDSM, il est de coutume pour le dominant de faire établir une liste au dominé de ses envies et des limites à ne pas franchir. Hors tout est allé tellement vite que je n'ai pas pris soin de faire établir cette liste, je sais seulement que la femme qui s'est tournée vers moi a des vues particulières sur l'exhib, le contact charnel et les pratiques en public, cependant elle n'est pas favorable aux pratiques anales.

Pour pallier à ce manque de temps et éviter un cérémoniale soporifique, j'ai simplement demandé à cette femme de me donner trois mots clés, des mots magiques :
- le premier est une simple demande, un "Stop" informel, une manière dire qu'on sort de se qu'elle avait prévu...

- le second plus important et un "Stop limite", il signifie qu'il faut vraiment que je ralentisse, qu'on est proche d'une frontière à ne pas franchir.
- le troisième et dernier, et un "Stop arrêt", attention celui-ci met un point final à la séance... et peut être même aux rencontre. Il est à noter que trois "Stop limite" forment un stop arrêt, à chacun d'en faire bon usage pour que le plaisir soit durable...

Pour la part physique, je sais qu'elle est de type caucasien, les cheuveux mi longs noir, qu'elle est de taille moyenne et plutôt menue. De mon coté je me suis décrit comme blond au yeux bleus, 1m80, plutôt large d'épaules sans être rugbyman, soigné mais bien loin du métro sexuel, aux mains douces mais fermes.

Pour notre première rencontre je lui laisse quelques informations. La séance ne devrait pas durer plus d'une heure, ça se déroulera en ville (à Toulouse) et elle n'a pas de frais à prévoir sauf des SMS et des appels de courte durée.
Elle doit me donner son numéro de téléphone portable et lui répond par un SMS de confirmation.
Pour coller à la charte graphique de mon blog elle devra s'habiller en rouge et noir. Un robe ou une jupe pas trop longue, et dans la couleur opposée, des collants sans rien dessous, ou des bas avec sous vêtements. J'ajoute que je ne veux pas de surcharge, particulièrement pour les parfums et bijoux. Le maquillage reste libre.

Je précise un lieu de rendez-vous mais c'est moi qui la trouverai, j'aurai quand même mon logo visible sur mes vêtements...

 

Le lendemain, j'arrive près du lieu de rendez-vous, pas de doute, c'est elle qui attend. C'est partit.
La séance commence par une promenade téléguidée, par téléphone je la mène de boutiques en boutiques. Je la suis de loin elle ne m'a pas encore vu. Le guidage est entrecoupé de consignes telles que relever sa jupe (même si je ne peux voir sans me faire repérer), se frotter à un mec sous prétexte de regarder quelque chose. J'ajoute aussi de nombreux commentaires pour qu'elle sache qu'elle plaît, que les regards se retournent sur elle...

 

198201173_5cf1c0f326.jpgAprès ces méandres dans les boutiques, je la dirige dans un coin discret repéré à l'avance.
Elle doit ouvrir un carton dans lequel j'ai logé une rose rouge pour la passion, et un masque occultant pour le noir.
Puis face au mur elle ne devra plus bouger, alors je la rejoins, ma main droite est gantée de latex, je la caresse au travers de la robe, le long du nylon, cette fois ce sont des bas noirs, mes mains remontent sur ses seins soulevant au passage sa robe. Mes doigts force sa bouche, elle doit lécher le gant, puis je descend caresser son sexe au travers des tissus laissant des traces nettement visibles.   

Ma main gantée soulève l'avant de sa robe, puis va s'aventurer directement sur le tissus de son string pour jouer avec ses lèvres, mes caresses sont plus précise, elle gémit et ondule, je commence à trouver ses zones les plus sensibles.

Elle est docile, mes mains vont saisir ses hanches pour l'inciter à se cambrer, j'en profite pour dégager son fessier de la robe. Je lui masse les fesses copieusement, et aperçois les fronces de son anus de chaque cotés de la ficelle de son string. Qui peut rester insensible à ce spectacle ?
Alors je m'accroupis et de l'index gauche je dégage la ficelle de son sillon, tout en continuant à malaxer, mon pouce droit, ganté, vient se poser sur son petit trou, A ce moment j'entends son "stop limite". Je la rassure en lui disant que je n'ai pas oublié et rien ne rentrera... Je place mes pouces de chaque coté de son anus et écarte légèrement, elle est visiblement serrée.
Par quelques mots j'essaye de la détendre, puis ma langue va directement titiller sa rosette, des gémissements viennent trahir son plaisir. Je recule ma tête pour admirer le fabuleux spectacle. Mon pouce retourne masser les fronces maintenant bien lubrifiées, visiblement ça fait de l'effet. Sans décoller mon pouce, ma mains passe entre ses cuisse et passe sous le tissu du string. Je masse ainsi ses lèvres, les écarte mais ne pénétrer pas franchement dans son vagin. Je retire ma main, le gant est trempé.
Je me redresse et ma main gauche passant sur son ventre l'invite à suivre mon mouvement. Ma main continue à monter et arrête sa course sur sa gorge lui poussant la tête en arrière, puis elle lécha mes doigts gantés pour retrouver son goût, et les lubrifier. Elle mouillait tellement que ce n'était pas vraiment nécessaire.
Ainsi prise à la gorge, mais sans pression, je me suis plaqué contre son cul, elle à bien du sentir la bosse de mon pantalon dans le creux de ses reins.
Rapidement ma main droite est retournée sur son sexe en écartant le tissu de son string. Deux doigts sont entrés sans difficulté, elle était trempée. Bientôt un troisième entra sans grande difficulté non plus. Dans ma paume, je sentait au travers du caoutchouc une toison soigneusement taillée. Calmement, mes doigts trouvèrent les zones les plus sensibles, ma main ainsi crocheté dans son sexe ne bougea plus avant qu'un orgasme la traverse. Mes doigts commencèrent le massage interne en appuyant plus vigoureusement sur les bonnes zones pour me garantir leur emplacement et choisir quelle zone sera l'instigatrice du bouquet final.
Je sentais que sa jouissance commençait à monter, sa main gauche vint se poser sur ma cuisse, tendis que sa droite caressait ses seins. On y était, j'ai commencé à faire des pressions successives avec les doigts, allant de plus en plus vite et de plus en plus fort. Quelques secondes plus tard un spasme violent la foudroyait, des éclaboussures étaient projeté sur le sol, puis tout son poids à reposé dans mes bras, comme inconsciente.
J'ai retiré le masque pour l'aider à retrouver ses esprits, quand ses jambes ont pu de nouveau la porter, je l'ai appuyé sur le mur pour réajuster sa robe.

La séance touche à sa fin, je récupère l'appareil photo qui filmait toute la scène et qui avait capturé toute la première partie.

Elle doit maintenant choisir...  

1- Ok, je peux garder les photos, mais pas les diffuser.

2- Non, je supprime tout sous ses yeux !

3- Nous allons dans un cyber café, je mets tout sur une clé USB offerte et j'efface les originaux de l'appareil...

Bien entendu le choix pèsera dans les prochaines entrevues...

 

Et si cette femme c'était vous ? poruquoi pas ? Quel serait vos mots? Et votre choix final ?... Les commentaires sont là pour ça :-)

 

Lun 17 jun 2013 3 commentaires
Pas d'hésitation, j'opte pour le choix 3!
clochette - le 17/06/2013 à 21h03

Le choix 3... tout ça parce qu'il y a un cadeau ? :-D

gadgetOverso
Je ne suis pas une femme vénale. Disons plutôt que je saurais probablement quoi en faire ;)
clochette - le 17/06/2013 à 22h32

Ce n'était que boutade...

Aurais-je du ajouter une option ou j'offre une copie, concerve les originales et promet une diffusion des plus belles ?

Clochette... je te rappel que ce n'est qu'un scénario :-p
(A moins que tu me donnes trois mots magiques... lol)

gadgetOverso
Oups... c'est vrai, ce n'était qu'un scénar...
Tout de même, je ne pourrai pas m'empêcher de réfléchir aux trois mots ne serait-ce que par goût du jeu...
clochette - le 17/06/2013 à 23h01