Les idées O de VersO

Maintenant que je vous ai raconté ma rencontre avec Barbara, laissez moi vous conter un événement qui laissa une grosse empreinte dans sa semaine toulousaine.

 

Avant cela, je dois vous préciser que si j’avais 30 ans, mes expériences physiques avec d’autres personnes avaient été rares. Ne me demandez pas pourquoi, je ne saurais vous répondre. De son coté Barbara avait bien plus roulé sa bosse, on peut même parler d’une période fast ou les expériences amoureuses de courte durée se sont succédées. Néanmoins, depuis une dizaine d’années elle était avec le même homme avec lequel elle a testé le trio avec deux hommes, et sans lequel elle a testé le trio avec deux femmes et un homme. Pendant cette période elle a aussi assumé sa bisexualité dans des duos de femmes.

 

J’ai planté le décor et peux maintenant passer à l’histoire.

C’est le quatrième soir suivant notre rencontre, ce soir là nous ne savons pas plus l’un que l’autre comment ça va se terminer car deux jours avant, quelques tensions m’avaient poussé à ne pas recoucher avec elle.

Dans la journée Barbara avait fait quelques courses avec la copine chez qui elle logeait. Elle aurait certainement voulu faire plus qu’y loger, ma la copine est hétéro.

Bref ce soir elle porte sur elle un achat de la journée, des boules de geisha ! Nous devons nous retrouver pour rejoindre des connaissances du chat dans un bar. Je vais donc la chercher en moto pour l’y amener, je comprend à demi-mot lors de conversations avec sa copine qu’elle a quelque chose qui la stimule, nous prennons la route et visiblement le cocktail moto plus boules est très agréable. Je constate que les effets des bosses sont particulièrement intenses, je fait donc un petit détour par une zone riche en dos d’âne, et ou il y même des zébras surélevés. Devant l’efficacité des zébras, je fais même un aller retour supplémentaire dessus.

Depuis le début de la soirée, un petit jeu s’installe entre nous, et il ne fait que s’amplifier depuis notre arrivée au bar, beaucoup mots à double sens ou encore des contacts comme si de rien n’était, le tout dans la plus grande discrétion car personne ne sait ce qui c’est passé entre nous, hormis sa logeuse. En milieu de soirée, elle me prend entre quatre yeux pour m’expliquer que si je l’allume, il va falloir que je l’éteigne après. Mais à cet instant mes souvenirs des jours précédents m’empêchent de répondre par l’affirmative.

 

Finalement l’histoire montra que ce que femme veut, femme obtient.

J’accélère le récit… Allumage au bar… Retrait des boules dans les toilettes… Retour à mon appart… Direct dans la chambre… A poil !… Et je reprends

J’avais chauffé Barbara à blanc toute la soirée, elle se jette donc sur moi pour me démontrer ses qualités de suceuse.

A propos, savez-vous que le prénom Barbara vient de Ste Barbe ? La sainte patronne des… Pompiers ! 

J’avoue que le plaisir est au rendez-vous, sa langue est des plus agile, allant un peu partout pour trouver ce qui me fait le plus réagir. Mon sexe, érigé, gorgé de sang bien chaud, lubrifié, devra attendre  car je veux rendre la pareille à celle qui me met dans cet état.

L’entrainant par la tête, je l’invite à remonter sur mon corps, elle s’imagine déjà glisser sur mon sexe, mais je la bascule latéralement, je loge ses seins aux creux de mes mains, puis mes lèvres courent sur son corps. Tout mon visage, et les sens qui l’accompagnent, profitent de son corps et descendent vers la source des premiers plaisirs de la soirée. Tandis que mes mains glissent jusqu’à ses hanches, ma bouche arrive à son sexe, visiblement il n’y a pas que ma queue qui est lubrifiée, je commence un cunnilingus qui semble la satisfaire à entendre ses gémissements. Puis pour accompagner ma langue j’insère un doigt, que je ne tarde pas à accompagner d'un deuxième. Je recule ma tête pour profiter pleinement de la vue de son corps qui ondule, surtout lorsque au cours des mouvements circulaires que font mes doigts je touche certaine zone. A peine quelques coups de langue plus tard, je décide de faire monté d’un cran son plaisir, c’est un troisième doigt qui entre et j’insiste plus particulièrement sur les zones repérées.

Il y en a une en particulier sur laquelle je vais exercer des pressions successives et rapides, la faisant grimper de plus en plus haut, j’accélère encore, les muscles de mon avant bras deviennent douloureux. Soudainement son corps se contracte, elle essaye de retirer ma main, mais je continue, je regarde ses yeux dans lesquels je lis de l’étonnement alors qu’elle reste figée avec la bouche ouverte comme cherchant de l’air. Puis du liquide inonde les draps par saccades, des éclaboussures m’aspergent le visage, des spasmes traversent son corps, je continue encore un peu, la paume de main est pleine, j’arrête les pressions, son corps retombe.

Elle reste sans bouger, respirant à peine, les yeux dans le vague. J’égoutte ma main sur son corps, puis lèche mes doigts, le liquide est amer, âpre et pratiquement inodore.

 

L’un comme l’autre, nous venons de vivre notre première histoire de fontaine… après une demi-heure elle repris ses esprits, et la nuit de sommeil sera entrecoupée de nombreux interludes faisant baisser considérablement le stock de préservatifs.

 

Dès le lendemain, j’ai su qu’elle en avait parlé à ses copines car elles se faisaient des signes de « La main » et c’était quasiment devenu mon surnom.

Mer 26 jan 2011 Aucun commentaire