Les idées O de VersO
Ce soir là nous avions organisé ce que nous appelons une soirée jeux, nous nous retrouvons souvent avec des groupes d’amis pour jouer à des jeux de société. Entendez bien que ces jeux sont souvent plus complexes ou instructifs que le Monopoly ou autre Bonne Paye. Si vous êtes curieux, je vous propose de regarder ces trois exemples, « Dixit », « Shadow Hunters » et « Seven Wonders ». Ou encore si nous sommes plus nombreux pourquoi pas jouer aux « Loups-Garous de Thiercelieux»
Comme d’habitude cette soirée fut fort agréable avec son lot de stratégie de jeux, de rigolade et de discussions diverses.
Minuit approchait, quand l’un de nos invité décida que l’heure était venue pour lui de partir, et comme souvent, quand un
oiseau s’envole, tous les autres suivent. Mais ce soir là, un tout petit oiseau resta, la petite CIndy. Naturellement vous auriez écrit Cindy, mais elle a pour habitude de l’écrire ainsi avec ses
deux majuscules, à la manière d’un pseudo.
C’est avec un plaisir non feint que nous gardons notre invitée car nous la connaissons trop peu, nous lui proposons un thé pour l’inciter à rester suffisamment longtemps pour faire plus ample connaissance.
Je me charge de la préparation tout en laissant une oreille distraite capter les informations de la conversation féminine. J’en profite aussi pour commencer un peu de rangement, une fois l’eau bouillante, je fais le service.
Le thé est fumant, CIndy nous signale qu’elle à vraiment très chaud et nous demande si il y a un endroit ou elle pourrait retirer ses collants. La chambre est instantanément désignée par Barbara qui se lève en même temps que CIndy prétextant d’aller fermer les volets pour plus d’intimité. Mais je connais bien l’oiseau, Barbara ne perd jamais une occasion de reluquer une jolie fille.
Les deux filles partent donc dans la chambre, je termine tranquillement le rangement et repense à CIndy et ses collants. Quel délice cette fille, une
petite rousse à la peau claire, avec énormément de charme même si un peu trop menue à mon goût.
Ce soir elle portait un simple tee shirt noir avec des décorations sobres et visiblement sa petite poitrine n’était pas emprisonnée, en bas elle portait un short noir relativement court qui
surmontait ses collants a peine plus foncées que sa peau, et des chaussures genre sécurité. Je n’affectionne pas spécialement les shorts, mais l’ensemble lui donnait du chien, une sorte de
puissance qui contrastait avec la douceur de sa voix et de ses propos.
Je conclus le rangement en me disant qu’elles en mettaient du temps pour retirer des collants.
La nécessité d’aller aux toilettes
devient aussi un excellent prétexte pour passer devant la porte de la chambre et scander un « Ca va les filles ? ». Pour seule réponse je reçois un gloussement qui enveloppe
un « oui, oui » et s’en suit un éclat de rire. Quelques secondes à peine après avoir fermé ma porte, j’entends celle de la chambre qui s’ouvre et filles qui regagnent le salon.
Lorsque je les rejoins, elles sont toute deux dans la banquette assise latéralement pour se trouver quasiment en face à face rapproché. Ne voulant pas les déranger, je m’installe dans un fauteuil à l’écart, dans cette configuration je suis à la limite du champ de vision de CIndy et bien en face de Barbara.
Je comprends rapidement quel est le sujet de conversation, ces femmes parlent entre elles de plaisirs saphiques.
Barbara est bisexuelle,
même si depuis que nous vivons ensemble sa relation est purement hétérosexuelle, et le fil de la conversation me confirme que CIndy est, elle, 100% homosexuelle. Les paroles sont de plus en plus
cru et torrides, mais je reste silencieux profitant de chaque mots.
Elles commencent à mimer quelques caresses pour illustrer leurs propos, elles le font sur elles même au début puis s’effleurent les jambes et les seins au travers des tee shirts. Il fait chaud et pourtant leurs tétons érigés déforment nettement le tissus. Barbara me lance des regards à la recherche des effets que me procurent ses gestes et paroles. Pour le moment je suis très excité, mais par-dessus tout je suis curieux de voir jusqu’ou ça ira. Est-ce mon dernier clin d’œil qui a été le déclencheur ? Je n’en sais rien, mais le fait est qu’aussitôt Barbara approcha sa bouche de celle de CIndy, et je vis clairement les langues entrer en contact. Suite à ce premier baisé, c’est le regard de CIndy qui vint chercher une réponse, d’un hochement de tête je lui offris le feu vert.
Le second baisé n’attendit pas, puis Barbara dénuda rapidement la poitrine de CIndy pour la souligner de ses doigts et l’embrasser. Dans une douce tornade ou se mêlèrent caresses, baisés, léchage et mélodie de gémissements, la nudité de leurs corps trouva naturellement sa place.
J’ai eu le plaisir d’assister à ces plaisirs donnés au naturel, avec les doigts, les paumes des mains, les seins, le nez, ou encore les pieds, la langue, les lèvres, pour faire frémir chaque partie du corps. Mon sexe n’en pouvait plus dans son écrin, mais je ne voulais pas interrompre cette avalanche de tendresse, je me suis quand même laissé aller à un massage discret de ma verge à travers mon pantalon et n’ai pu retenir une éjaculation. Ce spectacle magique a ravit mes pupilles pendant près de deux heures, elles finirent alors par se blottir l’une contre l’autre sans mots dire.
Quand CIndy bougea à nouveau la tête, sont regard passa sur l’horloge, et nous annonça qu’elle avait raté le dernier métro. Bien entendu, nous étions
prêts à l’accueillir, mais elle voulait vraiment regagner son lit pour le reste de la nuit allant jusqu'à dire qu’elle allait faire les presque dix kilomètres à pieds. J’ai donc sorti la voiture
et servi de chauffeur à ces dames qui sont toutes deux montées à l’arrière. Pendant quelques minutes, le rétroviseur me permit de voir à nouveau les langues de mes passagères se mélanger.
Arrivé devant chez CIndy, elle ouvrit la porte et me lança un « merci Ange pour cette soirée inoubliable ». Sur le chemin du retour Barbara posa sa tête sur mon épaule et ferma les yeux
jusqu'à notre domicile. Une fois à l’appartement elle se déshabilla et alla se coucher le temps que je prenne ma douche, dans le lit elle faisait déjà de beaux rêves. Sentant la chaleur de mon
corps elle vint se blottir dans mes bras.