Les idées O de VersO
Ce soir nous avons envie de sortir, Barbara s’habille avec son teeshirt « SM », sa mini jupe noire, des
collants rouges et ses bottes. Je la trouve terrible dans cette tenue à la fois sexy et autoritaire.
Nous commençons par aller manger des sushis à « Yoko Sushi » , dans un coin du restaurant il y a un mec seul, Barbara me signale qu’il
regarde souvent dans notre direction, il ne m’en fallait pas plus commencer à allumer Barbara en lui caressant les cuisses. Elle décida alors d’aller aux toilettes, j’en ai profité pour constater
que l’homme la suivait du regard. Je continue de manger tranquillement un ou deux sushis, puis j’entends une voix qui dit « madame, excusez-moi » . Quand je tourne la tête j’aperçois
Barbara qui se retourne aussi vers l’homme qui continue « votre jupe est coincée » .
En effet, je pouvais aussi constater que sa jupe était
coincée dans le collant exposant ainsi une bonne partie de son fessier. Etait-ce volontaire, afin de provoquer une réaction ? Barbara est une spécialiste pour déloger les gens qui restent
dans leur coin, souvent c’est de la provocation verbale, et puis ça passe ou ça casse. Si ça passe cela démontre un esprit vif et sur la même longueur d’onde donc c’est gagné, si ça casse…
Next ! Les collants moulaient ses belles petites fesses, et pour remettre en place elle se retourne, présentant à nouveau son postérieur à l’inconnu et lui demanda si c’était mieux ainsi.
Avec à propos, il répondit : « je ne dirais pas que c’est mieux, mais en tout cas plus convenable ».
Barbara revient s’asseoir pour finir le repas, ses yeux brillent, je lui demande si c’était volontaire ou réellement une maladresse, et sa réponse évasive confirme ma pensée.
Un peu plus tard, l’homme se lève, paye et passe à coté de notre table en direction de la sortie. Barbara lui lance : « Nous allons boire une bière après, vous nous accompagnez ? » . Nous avalons rapidement nos trois derniers sushis.
Sur le chemin de « la tireuse », nous glanons quelques informations, il s’appel Dimitry, bêtement nous lui demandons s’il est d’origine russe, mais en fait il est allemand. Il est en déplacement depuis presque une semaine et repart le lendemain soir.
Nous rentrons dans le bar, il y a beaucoup de monde, nous nous frayons un chemin pour commander nos trois bières, Nous restons près du comptoir pour boire mais ce n’est pas facile de discuter avec le bruit ambiant. Barbara profite d’une pause pipi de Dimitry pour me demander ce que je pense de l’inviter à boire un thé au calme de l’appartement. L’objectif de ma douce n’est pas dur à deviner, mais j’accepte, et si ça aboutit ça sera mon premier plan à trois avec deux mecs. L’homme ne se fait pas prier, sait-il lui aussi quel est l’objectif de ma chérie ?
Une fois à l’appartement, nous faisons la visite guidée, c’est l’occasion de lui montrer notre grand lit que nous surnommons le « baisodrome ». Tandis que Barbara reste dans la chambre pour retirer ses collants, Dimitry me suit dans le salon ou se trouve aussi la cuisine américaine. J’y prépare le thé.
Barbara nous rejoint, les jambes
et les pieds nus, et elle s’assoit sur la banquette au coté de notre invité. Une fois le thé servit, je m’installe en face d’eux, et au cours de la conversation Barbara se met en tailleur, une
bonne occasion de me montrer qu’elle ne porte rien sous sa jupe. Je sens mon sexe gonfler sous ma braguette, et je me dis « Ok, madame veux le jouer comme ça… ».
Je me lève pour refaire chauffer de l’eau, et demande à ma chérie de bien vouloir mettre de la musique en
fond sonore, sachant pertinemment bien qu’étant donné l’emplacement de l’ordinateur, il lui sera très difficile de ne pas nous offrir une vue magnifique. Elle s’exécute et feint de ne pas vouloir
exposer sa nudité, mais Dimitry a déjà une une main sur sa braguette. Je m’approche de Barbara pour l’aider à faire le sélection musicale et ma main s’aventure sur ses lèvres rasées de près et
déjà toutes humides.
Il n’en fallait pas plus pour que notre invité libère son membre. Quand nous nous retournons, nous constatons que celui ci est de taille impressionnante, surtout en diamètre. Barbara se jette presque littéralement sur cette queue qui rentre à peine dans sa bouche. Et pendant qu’avec sa langue elle le fait encore grossir l’engin, mes doigts dans son intimité la font onduler du bassin. Je propose d’aller dans la chambre pour plus de confort, Barbara en profite pour me rappeler qu’elle ne veut pas être sodomisé par un inconnu. C’est une discussion que nous avions déjà eu, j’avais d’ailleurs été surpris, car à mon sens la fellation est plus intime.
Barbara entreprend de déshabiller Dimitry pendant que je m’occupe de sortir des préservatifs et le lubrifiant bien qu’à priori inutile. Le sexe de
Dimitry paraît encore plus grand maintenant qu’il est nu. Je me mets rapidement en tenu d’Adam et m’approche de Barbara qui arrête de lécher l’énorme bite pour gober mon sexe le temps de quelques
va et vient. Puis elle se relève pour me rouler une pèle, et ensuite aller agiter sa langue dans la bouche de Dimitry tout en l’invitant à s’allonger, s’est un bon moyen de contrôler les
positions. J’ôte le teeshirt de Barbara avant qu’elle ne monte sur le lit, à genoux au-dessus de l’Allemand, elle le caresse avec les seins, sa bouche l’embrasse partout, ainsi elle remonte
jusqu'à présenter son sexe à la bouche de Dimitry. J’apprécie le spectacle, c’est magnifique, Barbara se redresse, je distingue à peine la langue qui frétille sous la jupe, mais les deus mains de
l’homme viennent pétrir les fesses de ma douce soulevant ainsi le rideau.
La vue de son petit
trou régulièrement écarté est une véritable invitation, je les rejoins donc pour lécher et saliver copieusement sur cet anus pour lequel le lubrifiant ne sera pas utile.. Barbara est aux anges,
mais elle sait précisément ce qu’elle veut, moi aussi et c’est pour cette raison que je lui tends un préservatif. Elle s’atèle à la tâche, ce qui ne s’avère pas si simple avec mes préservatifs de
taille standard, quand elle parvient à le mettre en place, la base de la capote ressemble à un cockring, et mes yeux ne peuvent s’en détacher.
Le sexe détrempé de Barbara commence à envelopper le gland de Dimitry, par de petit aller retour elle s’enfonce
de plus en plus sur le pieu, cette dilatation me fascine et mon sexe durcit de plus bel.
Il est temps pour moi de prendre place à genoux
derrière Barbara, elle ondule si légèrement qu’elle paraît presque immobile, je présente mon gland sur son anus et commence la pénétration. Mon sexe, qui entre habituellement relativement
facilement, se sent cette fois bien à l’étroit mais progresse tout de même jusqu'à disparaitre entièrement. Je commence alors un va et vient lent mais de grande amplitude, puis Barbara fait
coulisser le sexe de Dimitry en elle. Son plaisir est palpable, le mien passant en grande partie par le sien atteint des sommets, de plus je sens le sexe de Dimitry au travers de la parois ce qui
me stimule physiquement. Ma belle est au bord de l’orgasme, je donne quelques derniers coups de reins plus violents pour la faire décoller, elle explose de plaisir, et mon sperme se répand en
elle. Elle reste empalée sur le sexe de Dimitry qui force un léger va et vient, mais connaissant Barbara, celui ci n’a plus grand effet.
Peu de temps s’écoule avant qu’elle reprenne ses esprits et laisse sortir le sexe toujours aussi gros de sa
chatte, sa vulve est distendue et reste grand ouverte, encore luisante, j’ai l’impression de regarder un manga. Pour ne pas laisser notre invité en reste, elle entreprend une masturbation à deux
mains et lèche bruyamment la cyprine restée sur le préservatif. Et c’est à ce moment que les paroles de Dimitry viennent sonner comme le glas aux oreilles de Barbara : « Ah ! Je me
ferais bien un petit trou maintenant… ».
Ses mains se figent, sa langue rentre dans sa bouche qui
reste entrouverte, je lis un SOS dans ses magnifiques yeux bleus. Je réfléchis à la manière d’annoncer à Dimitry que ça ne va pas être possible, il nous observe, la tension doit être palpable. Il
dit alors : « Mais je vais y aller en douceur, tranquillement avec beaucoup de lubrifiant. ». Puis soudainement Barbara reprend son massage, faisant ainsi regonfler le sexe qu’elle
avait entre les mains et elle annonce paisiblement « OK ». Je la regarde avec surprise, Dimitry, lui gémis de plaisir, puis ma chérie tourne doucement son visage vers moi et me dit de
sa voix douce, « tu devrais te préparer un peu mon Ange, sinon tu risques la déchirure… ». Devant mon air stupéfait, elle insiste « Aller, à genoux ! Et lubrifie
bien ! ». Mon regard se tourne alors vers Dimitry qui vient de comprendre, et qui pour toute réponse fait un hochement d’épaule, visiblement ça lui convient. Je m’exécute donc et me voilà à
genoux sur le lit avec le flacon de lubrifiant pour seul allier, J’en mets une bonne dose sur deux doigts et commence un massage de mon anus avant d’y enfoncer le premier doigt. Je remets une
bonne quantité de produit pour faire pénétrer les deux suivants, et je pense au fait que je n’ai jamais été pris par un homme, c’est vrai j’aime le plaisir anal, mais je n’ai fait qu’utiliser des
sextoys, et pour ma première fois c’est un véritable gourdin qui va visiter mon cul. Je commence un peu à stresser, je jette un œil à Barbara qui en profite pour passer à la vitesse supérieure,
j’ai l’impression que le sexe de ce mec grossit encore… est-ce possible ? Mon regard va vers Dimitry qui semble alors se concentrer pour ne pas exploser, maintenant que je me suis fait à
l’idée, je serais déçu si ça devait arriver. A peine quelques secondes plus tard, ma chérie a du ressentir
la même chose, car elle cesse de stimuler le sexe avec sa bouche, pour scander « Ca doit être bon là, on y va ».
Je me cambre légèrement, il présente son membre à l’orée de mon trou et Barbara le branle, elle veut vraiment que son chibre soit énorme pour moi, mais elle prend tout de même soin de moi car je sens du lubrifiant qui coule dans ma raie. Dimitry exerce une pression, son gland un peu plus petit entre sans trop de problème mais prend déjà beaucoup de place. Puis il continue à avancer, mon anus se dilate, j’ai l’impression que ma préparation est insuffisante. Ce qui me frappe c’est la chaleur qui se dégage de sa queue. Barbara est fascinée et ne se prive pas de commenter. Elle m’indique la progressions, il n’y en a qu’un quart qui est entré. Le membre continue de s’enfoncer me dilatant comme rarement je l’ai été. Une fois la première moitié passée, il commence à faire des va et vient. A chaque fois j’ai l’impression qu’il est plus gros, mais la part de douleur va en diminuant. De temps en temps j’entends la main de ma chérie qui va claquer sur les fesses de Dimitry, cette frappe se propage en moi par le coup de rein ainsi généré. Quand Barbara annonce que la totalité de l’engin est entrée, je ne sais plus ou j’en suis, les mains qui se posent sur mes hanches sont fermes, puis le mouvement s’accélère, les pénétrations sont de plus en plus violentes. Je n’en peux plus, quand trois coups de reins font s’enfoncer encore plus profond le membre qui n’a jamais été aussi gros, puis les râles de l’homme accompagnent les tressautements de son sexe dans mes entrailles. Je tombe sur le coté, j’ai pris un pied énorme, et c’est sous les caresses de Barbara que je reviens à moi, sa main qui va parfois inspecter l’ouverture de mon orifice me procure à nouveau du plaisir.
Dimitry prétexte qu’il doit se lever tôt demain pour partir rapidement, ce qui nous permet de rester en couple et finir la nuit enlacés l’un contre l’autre.