Samedi 30 août
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Il y a un bon moment j'ai rédigé un article qui était basé sur l'idée de faire un pilori en s'aidant d'une fenêtre et du store comme système de fermeture (ici)
Une femme ayant lu cet article et curieuse de voir l'effet que ça lui ferait m'a demandé si je pouvait l'aider à réaliser ce fantasme.
Me voilà parti pour une mission bricolage un mardi après midi. Deux planche, une scie, une perceuse et quantité de quincaillerie.
Sur place la femme est charmante. Accueillante, elle me propose un verre, mais je préfère commencer aussitôt. Je prends les mesures, tours de cou et poignets, et
m'affaire.
Une bonne demi heure plus tard l'objet de ses fantasmes est installé à une fenêtre de la façade qui donne sur la rue. De nouveau elle me propose le verre, mais je
lui fais remarquer que c'est plutôt l'heure de l'essayage. Docile elle pose sa tête dans l'échancrure, me précisant qu'heureusement il n'y a pas trop de voisin pour le moment. Elle place ces
poignets et je baisse le store, la rendant prisonnière.
Je lui demande si tout va bien, et en guise réponse elle se trémousse de l'arrière train, qui pour le coup m'était fièrement présenté. Je viens poser une main sur
cette croupe incendiaire, et je ne sais plus si c'est moi qui caresse ou si c'est elle qui se frotte. Négligemment ma main glisse et relève sa robe, et je découvre sa nudité.
Si tout ceci était prémédité, je n'ai pas de raison de m'en priver, je passe un doigt sur ses lèvres déjà trempées, et décide de la faire languir prétextant d'aller
me laver les mains. L'occasion pour moi d'attraper un préservatif... Je vous laisse imaginer la suite des festivités.
J'imagine la tête des voisins s'ils avaient pu voir juste sa tête et ses mains ressortant du store et se contractant au grès de mes coups de queue.
Nous avons continué à communiqué après cette expérience ou chacun avait pris beaucoup de plaisir.
Peu de temps après j'eus une idée sur le même principe, je lui demande si elle est prête à être ma complice pour la mettre en application, mais sans lui donner
d'information précises. Sa crainte est de se faire surprendre par ses voisins, ça tombe bien car j'ai prévu d'officier coté jardin cette fois, alors elle accepte.
Connaissant désormais les lieux et la personne, j'ai tout préparé en avance. Le mardi suivant, lorsque j'installe le matériel, elle est surprise par la découpe qui
est beaucoup trop large pour sa tête. En effet cette fois la position sera bien différente, c'est au dessus des hanches que le piège se refermera, laissant ainsi ses seins apparent à
l'extérieur.
Je lui demande de se déshabiller, c'est la première fois que je la vois nue, puis de se pencher par dessus la planche, les bras revenant en arrière pour laisser les
mains à l'intérieur de la maison cette fois. Puis je baisse le store, lui demande si tout va bien, vérifie qu'elle mouille déjà et l'informe que je viens voir le spectacle depuis l'extérieur.
J'avais évidement ma petite idée.
Ses
seins sont magnifiquement exposés, je commence par les soupeser, les caresser, les malaxer et même les pincer un peu. Mon sexe ne perd pas de temps et se gorge de sang, il est temps de le
libérer. J'avais prévu une petite marche pour qu'il puisse trouver naturellement sa place dans la bouche de la captive. Ses lèvres se ferment et sa langue s'active pour me procurer du
plaisir.
Je me retire lentement et soutien son visage quand je lui dis d'imaginer si un autre mec s'occupait de son cul pendant ce temps là. Elle répond simplement en levant
les sourcils et en ouvrant à nouveau la bouche. Mon sexe à peine en bouche, elle écarquille les yeux, et fermement je lui maintient la tête et enfonce d'avantage ma queue dans la bouche. Elle ne
pouvait pas imaginer qu'en faisant le tour de la maison, j'avais ouvert la porte à mon complice...
C'est mon cousin, depuis longtemps nous plaisantons plus ou moins en parlant de prendre une fille tout les deux, mais au fond de moi je ne suis pas certain de
vouloir faire ça devant lui. Alors quand j'ai imaginer cette situation, son nom m'est venu tout naturellement. Je sais qu'il adore lécher, c'est d’ailleurs par ça qu'il doit commencer. J'imagine
l'autre coté du store, un peu trop, car ne voulant pas cracher la purée trop vite, je suis obligé d'extraire ma queue. Je me met alors à la hauteur de son visage et lui demande si c'est bon, elle
se mord la lèvre, et me regarde en pleurant presque. Je m'acharne à nouveau sur ses seins, aux limites de la torture parfois, jusqu'au moment ou ils se mettent à osciller d'avant en
arrière.
Elle se met à gémir et à crier
par accoues, c'est le signe pour moi de lui remplir à nouveau la bouche. Je n'ai pratiquement pas à bouger. ma queue s'enfonce de plus en plus, et alors que la prisonnière volontaire essaye de
crier son ultime jouissance, ses mouvements me font exploser dans sa bouche. Elle ne bouge presque plus, je sors ma queue entrainant un peu de sperme et de salive, sa respiration est
irrégulière... il est temps de la libérer, je m'en occupe seul, elle ne verra jamais celui qui lui fit tant de bien par derrière...