Idées Ô de verso

Pratiquement tout le monde parle du temps qu'il fait en ce moment, et rares sont ceux qui ne s'en plaignent pas !

Et moi ? Ohhh Non ! Je m'en réjouis.

Je prends la vie comme elle vient, et tout les temps m'offrent des occasions de réveiller des souvenirs, des désirs, des envies, des rêves, des illusions,...
Et même si un petit feu dans une cheminée en bonne compagnie ne serait pas refus, ce n'est pas le sujet du jour.
En fait, ça se passe en extérieur !

Il ne fait pas très beau, c'est un fait.
Mais on aperçoit de petits coins de ciel bleu occasionnellement,
Et surtout... on est fin mai... et... tout les corps féminins veulent prendre l'air !!!
(Oui je suis sexiste :-D )

Alors ma vision de la météo de ces dernier temps c'est :
- Recrudescence des shorts, petites robes et autres mini jupes
- Protection thermique des jambes par des collants ou des bas
- Carapace pour sortir dans la rue, un bon manteau

Le premier effet est bien entendu le plaisir de revoir les jambes de ces dames.

Le deuxième effet est le résultat de la combinaison des vêtements courts avec les manteaux long... le fameux fantasme de la femme nue en dessous.

La période ou ce petit jeu est faisable sans éveiller les soupçons est souvent courte.
Le temps d'y penser et hop c'est trop tard...
Mais cette année on peut jouer, rejouer, affiner la stratégie, tester les longueurs, tester les lieux, ...

Oserais-je repenser à ce binôme de samedi soir près des Carmes?
Il était un peu plus de minuit, j'étais exceptionnellement en voiture et le temps de faire le tour du quartier, je les ai vu à deux reprises.
Elle avait un trois quarts blanc immaculé... ils avaient l'air complice, un brin coquins... Elle avait de belles jambes couvertes de soie claire... et alors que ses pas entrouvraient son manteau, il m'a semblé voir de la dentelle me laissant imaginer des bas.

J'ai voulu provoquer une nouvelle vision en me garant un peu plus loin, un peu trop loin, ils n'arrivaient pas... Alors j'ai fait demi tour pour assouvir mes désirs voyeuristes, mais plus une trace du couple...
Il ne me restait plus qu'à les imaginer dans une petite rue transverse, s'embrassant, avec la main de l'homme glissant à même la peau de la femme plus chaude que jamais...