Dimanche 3 novembre
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10:22
J'ai bien du mal à faire vivre le blog en ce moment, les "quotidiennes envies" migrent en mensuelles ou bimensuelles envies...
Pour me rattraper je vais essayer de ravir les amateurs et amatrices du genre "récit".
Les lignes qui vont suivre sont une variante de ce qui me passait dans la tête il y a deux jours alors que je faisait une petite sièste... sur la béquille.
"La seule consigne vestimentaire que je lui avait donné était de porter une robe ou une jupe... Et d'avoir son kit main libre pour le téléphone.
Elle monte dans la voiture et après le bonjour d'usage je l'emmène dans un parking à étages. Elle ne pose pas de question, elle a désormais confiance, et peut être
pense t'elle que nous allons faire des courses.
En pleine journée dans la semaine, je trouve aisément une place dans un endroit plutôt calme. Je lui ouvre la porte et l'invite à sortir de la voiture, ouvrant le coffre du breack je lui fait
signe d'y entrer à quatres pattes.
Sa robe n'est pas très longue et la base de ses fesses se découvre légèrement. Sans avertissement je dévoile intégralement son cul, elle porte un beau tanga rouge. J'admire un instant puis sors
de ma poche un stylo indélébile, à un centimètre du tissus j'inscris mon adresse e-mail gadgetOverso. En guise de ponctuation finalle, je lui assène une bonne claque sur sa fesses
droite que je recouvre rapidement, juste à temps pour que les personnes qui arrive ne se doute de rien alors qu'elle finit de sortir du coffre.
Il est temps de l'équiper de son kit main libre, elle portera uniquement l'oreillette coté micro. Je l'appel pour établir la connection, et j'enferme son téléphone vérouillé dans une
poche à fermeture éclair, ainsi je pourrai m'éloigner tout en gardant le contact.
La prenant par la main, je l'entraine vers un angle du parking. En chemin je lui explique que je vais lui confier quelque chose d'unique, que je n'ai qu'en un
seul exemplaire. Dans sa main droite je dépose alors une clé, que les amateurs reconnaitraient rapidement, c'est une clé de menottes.
A l'angle se trouve un escalier qui descent et une porte venant de l'escalier du dessus. Je lui demande de rester immobile à quelques mètres de l'escalier, ce qui m'est nécessaire pour
installer et règler un camescope. Je lui précise que c'est pour les souvenirs...
De retour à ses cotés, je lui demande sa main gauche. il ne faut que quelques instant pour qu'elle se retrouve menottée à un support de gaine technique au plafond.
La position soulève sa robe mais elle n'est pas indéscente, je prend un clichet et lui dit simplement "à bientôt" avant de filer par l'escalier.
Bien entendu je sais qu'elle peut se libérer à tout instant, alors pour la rassurer je teste la connexcion téléphonique en lui demandant si tout va bien, et elle me répond d'un petit oui.
Pour ma part je suis en train de faire le tour par l'étage inférieur pour retourner discrètement à la voiture que j'ai volontairement oublié de fermer.
Elle me demande si elle va rester longtemps comme ça, je lui répond d'un "chuuut".
Ca fait déjà un certain temps que nous sommes arrivé et un seul couple de personne est passé, Et pourtant là, j'ai à peine faire la moitier du chemin qu'elle me dit qu'un homme la regarde de
loin. Je presse le pas tout en lui demandant de me le décrire.
Une quarantaine d'année, plutôt fin, mais il est loin... il observe seulement.
J'ai remonte à l'autre coin, alors qu'elle me dit qu'il approche doucement. je fais attention de ne pas faire de bruit. J'approche à pas feutrés, et j'entends à l'oreillette que l'homme parle, je
ne comprend pas mais je dis à ma complice de l'inviter à s'approcher s'il a l'air correct.
Elle lui explique qu'il ne faut pas s'inquiéter, que ce n'est qu'un jeu entre amis et qu'il peut venir.
Je suis à quelques pas de la voiture mais ils sont tout deux tellement absorbés par la situation qu'il ne m'ont pas repéré. Précise lui qu'en cas de problème tu est au téléphone avec un ami et
que tu as même la clé sur toi en cas de besoin.
Il est maintenant juste à coté de toi et je l'entends te demander ce qu'il peu faire pour toi. Je t'ordone de lui dire qu'il doit chercher la clé mais te laisser attachée, et je te précise
de bien garder ta main droite fermée.
Commence alors une fouille au corps, l'homme s'accroupis pour vérifier qu'elle n'est pas dans tes chaussures. Je te demande de tourner doucement pour qu'il puisse
bien faire le tour de tes chaussures. Au moment ou tu lui tourne le dos, il lève la tête, la vue doit être très agréable car il n'en perd pas un miète, il hume même l'air afin de capter tes
effluves. Son sourire est béat alors que tu achèves ta rotation.
Il remonte alors ses mains le long de tes jambes... pense t'il vraiment que la clé puisse être sur ta peau nue ?
Alors que tu à les yeux fermés pour savourrer les caresses, il arrive au niveau du tissus et se rend compte de sa bétise. Il passe à une palpation à travers la robe sur les cotés de tes
cuisses et remonte vers les hanches. Il arrive vers la poche du téléphone, dis lui qu'il n'y a que le téléphone ici.
Il continue sa progression et arrive en haut de la robe, il est pratiquement collé à toi, il passe les mains dans tout ton dos, puis revient sur le devant. Visiblement tu prends autant de plaisir
que lui, alors il s'attarde un peu en malaxant tes seins. Soudain, comme suite à une révélation il retourne au niveau de tes cuisses et fait glisser ses mains sous ta robe, j'entends ta
respiration qui s'accélère. Lui, scande deux propos des plus crus au sujet de ta chatte qui est désormais trempée.
C'est le moment que je choisi pour te faire laisser tomber la clé.
Le bruit du métal qui choque le sol refait prendre ses esprits à l'homme qui sort les mains de sous ta robe et se lèche deux doigts. Je te demande de lui dicter
des instructions, il doit ramasser la clé, aller chercher le papier coincé au dessus de la porte, puis revenir te lire et executer les consignes une par une...
Il s'exécute avec application, lorsqu'il se dirige vers la porte je note clairement que sa queue bandée déforme son pantalon de survêtement. A son retour à coté de
toi, j'entends bien qu'il doit détacher les menottes du plafond en te tenant fermemant. Habillement il te tient le poigner droit et de la même main il maintient les menotte pour les ouvrir
aisément.
Il glisse la clé dans la poche de son pantalon d'ou il ressort le papier. Avait-il lu la suite ? Car c'est avec un grand sourir qu'il annonce qu'il doit te rendre la clé dans la main
gauche. Et plutôt que de te la rendre, il te dis que tu vas devoir venir la chercher. Je ne perds pas une miette du spectacle et prends de nombreuses photos alors que tu farfouilles tant et
tant dans la mauvaise poche faisant dresser son sexe. Puis tu réitères l'opération dans la bonne poche, sa queue est bien raide sous le tissu quand tu finis par ressortir la main avec
la clé dedans.
Il prend un instant avant de lire la suite, il va devoir t'attaché de sorte à ce que tu restes penchée au dessus de la rembarde de l'escalier. Comme dans une danse il t'emmène par le poignet et
descend les escaliers alors que toi tu restes à l'étage, au fur et à mesure qu'il avance, tu te penches et ta robe se soulève. Tu as désormais la main pratiquement au niveau des
chevilles, il attache les menottes à la rembarde, et moi je te fais profiter du spectacle en t'expliquant qu'on voit très bien la naissance de tes fesses et même le rouge de ta culotte
bien tendue par la position.
En remontant, il te dit qu'il est enchanté par la suite des évênements, il va devoir t'exposer, relever ta robe pour bien voir tes fesses. Avant d'accomplir sa mission je le vois plaquer son
sexe tendu dans ses vêtements sur ton cul et se pencher sur toi pour te demander si la position n'est pas trop inconfortable, plutôt prévenant, mais je suis dans les starting block au cas ou ça
dégénère. Tout en ondulant des fesses, tu lui rappeles gentillement qu'être soucieux de ton bien être ne fait pas partie des consignes à priori, mais que tu es ravie de savoir que ce jeu
l'excite. Il se redresse en faisant glisser ses mains sur ton dos jusqu'au bas de ta robe, puis il les remonte pour faire apparaitre complètement ton tanga et offrir tes fesses à ses yeux
et à ses mains alors qu'il ajuste tendrement le tissus pour te parrer au mieux.
Il recule de quelques pas pour admirer le tableau et lit le papier pour t'annoncer qu'il va prendre des photos ou l'inscription sur ton cul devra être lisible, et qu'il prendra le temps de les
publier sur internet ou de les envoyer à l'adresse indiquée. L'avantage de ta position c'est que ton visage ne sera pas sur les photos. Alors qu'il prend de nombreuses photos de ta croupe
incendiaire avec son smartphone, je te glisse à l'oreille que je vais faire du bruit en arrivant et que tu devras le faire fuire en lui disant qu'il y a du monde et que tu te libèreras seule...
mais tu dois rester attachée.
Alors je sors de ma cachette bruyament, tu suis les consignes et je vois du coin de l'oeil que l'homme part effectivement. Je monte dans la voiture et claque bien fort la porte. Je démarre et
vient me stationner juste à coté de toi pour t'abriter des regards indiscrêts. Ton cul offert est pratiquement à la hauteur de mes yeux, je descends de la voiture et m'approche pour
vérifier d'un doigt que ton sexe est trempé. Je fais glisser ton tanga, te fait lever les pieds pour le retirer complètement et vais le poser dans la voiture. En revenant vers toi tu
entends le bruit de ma fermeture éclair, mon sexe est déjà gonflé depuis un moment, j'enfile une capote sans difficulté et viens caresser tes fesses avant de te pénétrer. Sa glisse tout seul,
je sais que je ne vais pas tenir longtemps, je m'agrippe à la rembarde et t'assène des coups de reins avec une fougue inouie. Tu essaies de retenir tes cris, ce qui me motive d'autant plus, et
quelques coups de boutoir plus tard tes cris de jouissance déclanche mon plaisir et me vide en toi. Je me retire chancelant en te disant que tu peux te libérer.
Tu réajustes ta robe alors que je retire la capote et range mon sexe. Nous entrons dans la voiture et sur le point de partir je penses au caméscope... ça serait dommage que quelqu'un d'autre en
profite... même si nous nous avons les souvenirs plein la tête.
"
PS : L'origine de ce récit est très probablement cette photo... comme quoi ça a du bon l'imagination.
PS 2 : Je n'ai rien corrigé... désolé pour les plus sensibles
Perso, j'ai plus souvent attaché que le contraire,
Et surtout ce fut très souvent dans l'intimité,
Mais je trouve que c'est un moyen incomparable pour décupler certaines sensations.
Et toute les variations sont possibles selon la confiance allouée au partenaire... du simple biais de soie aux menottes (les vraies, pas celle de sex shop...)
A toi de jouer ;-)