Hier soir, je me suis rendu compte que j'avais depuis plusieurs jours une idée dans la tête qui ne s'exprimait pas vraiment, j'ai envie de jouer avec des
cravaches...
Aujourd'hui, il y a ce ciel bleu sans le moindre nuage qui invite à la promenade, c'est un véritable temps à faire de la photo d'exhibition en
extérieur...
Alors en mixant les deux je vois un départ en ballade avec les cravaches qui sortent du sac à dos, avec les regards des badauds qui se demande si on part chercher
des chevaux ainsi équipé, mais savent bien qu'il n'y en a pas par là...
En parlant de cravache, peut être allez-vous imaginer une scène hard en forêt, avec des membres attachés et écartés entre des arbres, et la cravache qui vient
s'abattre comme un fouet pour meurtrir la chair.
Mais moi quand je parle de cravache, j'y vois tout un potentiel, un objet qui peut aller de la caresse la plus sensuelle à la morsure la plus vite. J'y vois un jeu
psychologique redoutable qui manié avec art peut mettre en émoi toutes les parcelles du corps.
Quand la pièce de cuir caresse délicatement les parties intimes, que ce contact disparait et qu'il est impossible de savoir quelle sera la prochaine étape, ça
pourrait être un coup sec sur une fesse, une succession de petit coups stimulant sur toute une zone pour la faire rougir progressivement, d'autres caresses ici ou là, ... Et ce "blanc" est
finalement très puissant, comme un silence dans la musique.
De surcroit, pratiquer ce délice en milieu ouvert invite à retenir le moindre gémissement, et chaque claquement prend deux dimensions, celle de la brulure charnelle
et celle de l’écho qui sonne comme une invitation aux promeneurs pouvant surgir et vous découvrir ainsi offert. Le tout sous l’œil vigilent de la caméra qui pouce à garder sa dignité.
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