Dimanche 29 mai
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Hier en passant dans la rue Chalande, en plein centre de Toulouse, il y avait une file d'attente exclusivement féminine devant une boutique qui avait l'air
fermée...
J'ai laissé trainer mes oreilles pour découvrir que c'était un bar à chat, le premier à Toulouse.
Je pense qu'il y avait la queue car les conditions d'entrée sont drastique dans ces bar, si j'en crois les reportage que j'ai pu voir. Il faut montrer patte
blanche, en se lavant et désinfectant les mains, laisser les chats venir à soi, par question de forcer un chat ou de courir après, et il y a un nombre limité de place pour garantir la quiétude
des animaux et des clients.
Toujours est-il qu'en imaginant mes doigts caressant une douce fourrure, je n'ai pu m'empêcher de penser à un bar à chattes.
Lieu ou finalement les conditions d'entrée seraient sensiblement les mêmes.
Mais ou la file d'attente serait peut être un peu plus masculine, quoique beaucoup de femmes viendraient peut-être tenter l'expérience, je sais que certaines
aimeraient mais n'osent pas. De quoi ouvrir bien des esprits.
Pour que ce soit plus simple d'un point de vu législatif, j'ai plutôt imaginé deux entrées pour deux clientèles différentes, les caressés d'un coté, et les
caressants de l'autre. Les aménagements intérieurs permettant aisément d'identifier les rôles et des tarifs ajustés en fonction de la fréquentation pour réguler le trafic des deux
côtés.
Par souci d'équité, il y aurait aussi un coin piano... à queues.
Même si seules les caresses seront autorisées, avec un peu de doigté les ronrons ne seront pas loin.
Par gadgetOverso
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Publié dans : Quotidiennes EnVies
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