Histoires d'Ange

Dimanche 27 février 7 27 /02 /Fév 16:22

Chut... Je dors, et pourtant, j'entends du bruit, est-ce le fruit de mon imaginantion ?

Le lit bouge, les draps aussi , je ne suis pas encore vraiment éveillé, mais nul doute, c'est Barbara qui se lève, mon attention se relache. Toujours dans un demi sommeil, je la sens à peine revenir dans le lit.

Il est des réflexes qu'on ne contrôle pas, mon sexe est légèrement gorgé de sang et le frottement des draps est plutôt un bon stimulant. Barbara n'a de sèce de bouger à mes cotés, quand soudain la chaleur de son souffle vient stimuler ma verge. Sa raideure doit être au gout de Barbara qui la prend rapidement en bouche. Je me laisse faire, sans bouger.

Ange_Net_Pipe-sous-drap.jpgLa chaleur moite qui va et vient sur mon phalus, les caresses agile de sa langue sur la longueur de ma verge, s'associant à mon demi sommeil me transportent dans une dimension inconnue.

Ma belle continue sa remarquable fellation, d'instinct j'attends le moment ou elle va venir s'empaller sur mon sexe. Pour le moment ses va et vient vont en s'accélérant. Mon sexe est gonflé à en exploser. L'alternance des caresses linguales et des aspirations me rend fou.

Je n'en peu plus, j'ai la tête qui tourne, ma jouissance est proche, Barbara ne relache pas la pression, mon sperme se répend dans sa bouche, elle avale tout jusqu'a la moindre goutte.

Par Ange - Publié dans : Histoires d'Ange
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Dimanche 13 mars 7 13 /03 /Mars 17:02

Ce soir nous avons envie de sortir, Barbara s’habille avec son teeshirt « SM », sa mini jupe noire, des collants rouges et ses bottes. Je la trouve terrible dans cette tenue à la fois sexy et autoritaire.
Ange_Net_Yoko-Sushi.gifNous commençons par aller manger des sushis à « Yoko Sushi » , dans un coin du restaurant il y a un mec seul, Barbara me signale qu’il regarde souvent dans notre direction, il ne m’en fallait pas plus commencer à allumer Barbara en lui caressant les cuisses. Elle décida alors d’aller aux toilettes, j’en ai profité pour constater que l’homme la suivait du regard. Je continue de manger tranquillement un ou deux sushis, puis j’entends une voix qui dit « madame, excusez-moi » . Quand je tourne la tête j’aperçois Barbara qui se retourne aussi vers l’homme qui continue « votre jupe est coincée » .
Ange_Net_Jupe-releve.jpgEn effet, je pouvais aussi constater que sa jupe était coincée dans le collant exposant ainsi une bonne partie de son fessier. Etait-ce volontaire, afin de provoquer une réaction ? Barbara est une spécialiste pour déloger les gens qui restent dans leur coin, souvent c’est de la provocation verbale, et puis ça passe ou ça casse. Si ça passe cela démontre un esprit vif et sur la même longueur d’onde donc c’est gagné, si ça casse… Next ! Les collants moulaient ses belles petites fesses, et pour remettre en place elle se retourne, présentant à nouveau son postérieur à l’inconnu et lui demanda si c’était mieux ainsi. Avec à propos, il répondit : « je ne dirais pas que c’est mieux, mais en tout cas plus convenable ».

Barbara revient s’asseoir pour finir le repas, ses yeux brillent, je lui demande si c’était volontaire ou réellement une maladresse, et sa réponse évasive confirme ma pensée.

Un peu plus tard, l’homme se lève, paye et passe à coté de notre table en direction de la sortie. Barbara lui lance : « Nous allons boire une bière après, vous nous accompagnez ? » . Nous avalons rapidement nos trois derniers sushis.

Ang_Net_La-tireuse.JPGSur le chemin de « la tireuse », nous glanons quelques informations, il s’appel Dimitry, bêtement nous lui demandons s’il est d’origine russe, mais en fait il est allemand. Il est en déplacement depuis presque une semaine et repart le lendemain soir.

Nous rentrons dans le bar, il y a beaucoup de monde, nous nous frayons un chemin pour commander nos trois bières, Nous restons près du comptoir pour boire mais ce n’est pas facile de discuter avec le bruit ambiant. Barbara profite d’une pause pipi de Dimitry pour me demander ce que je pense de l’inviter à boire un thé au calme de l’appartement. L’objectif de ma douce n’est pas dur à deviner, mais j’accepte, et si ça aboutit ça sera mon premier plan à trois avec deux mecs. L’homme ne se fait pas prier, sait-il lui aussi quel est l’objectif de ma chérie ?

Une fois à l’appartement, nous faisons la visite guidée, c’est l’occasion de lui montrer notre grand lit que nous surnommons le « baisodrome ». Tandis que Barbara reste dans la chambre pour retirer ses collants, Dimitry me suit dans le salon ou se trouve aussi la cuisine américaine. J’y prépare le thé.

Ange_Net_jupe-canape-sans-culotte.jpgBarbara nous rejoint, les jambes et les pieds nus, et elle s’assoit sur la banquette au coté de notre invité. Une fois le thé servit, je m’installe en face d’eux, et au cours de la conversation Barbara se met en tailleur, une bonne occasion de me montrer qu’elle ne porte rien sous sa jupe. Je sens mon sexe gonfler sous ma braguette, et je me dis « Ok, madame veux le jouer comme ça… ».

  Je me lève pour refaire chauffer de l’eau, et demande à ma chérie de bien vouloir mettre de la musique en fond sonore, sachant pertinemment bien qu’étant donné l’emplacement de l’ordinateur, il lui sera très difficile de ne pas nous offrir une vue magnifique. Ange_Net_jupe-sans-culotte.jpgElle s’exécute et feint de ne pas vouloir exposer sa nudité, mais Dimitry a déjà une une main sur sa braguette. Je m’approche de Barbara pour l’aider à faire le sélection musicale et ma main s’aventure sur ses lèvres rasées de près et déjà toutes humides.

 

Il n’en fallait pas plus pour que notre invité libère son membre. Quand nous nous retournons, nous constatons que celui ci est de taille impressionnante, surtout en diamètre. Ange_Net_bite-braguette.jpgBarbara se jette presque littéralement sur cette queue qui rentre à peine dans sa bouche. Et pendant qu’avec sa langue elle le fait encore grossir l’engin, mes doigts dans son intimité la font onduler du bassin. Je propose d’aller dans la chambre pour plus de confort, Barbara en profite pour me rappeler qu’elle ne veut pas être sodomisé par un inconnu. C’est une discussion que nous avions déjà eu, j’avais d’ailleurs été surpris, car à mon sens la fellation est plus intime.

Ange_Net_pipe001.jpgBarbara entreprend de déshabiller Dimitry pendant que je m’occupe de sortir des préservatifs et le lubrifiant bien qu’à priori inutile. Le sexe de Dimitry paraît encore plus grand maintenant qu’il est nu. Je me mets rapidement en tenu d’Adam et m’approche de Barbara qui arrête de lécher l’énorme bite pour gober mon sexe le temps de quelques va et vient. Puis elle se relève pour me rouler une pèle, et ensuite aller agiter sa langue dans la bouche de Dimitry tout en l’invitant à s’allonger, s’est un bon moyen de contrôler les positions. J’ôte le teeshirt de Barbara avant qu’elle ne monte sur le lit, à genoux au-dessus de l’Allemand, elle le caresse avec les seins, sa bouche l’embrasse partout, ainsi elle remonte jusqu'à présenter son sexe à la bouche de Dimitry. J’apprécie le spectacle, c’est magnifique, Barbara se redresse, je distingue à peine la langue qui frétille sous la jupe, mais les deus mains de l’homme viennent pétrir les fesses de ma douce soulevant ainsi le rideau.
Ange_Net_sous-la-jupe-de-ma-copine_big.jpgLa vue de son petit trou régulièrement écarté est une véritable invitation, je les rejoins donc pour lécher et saliver copieusement sur cet anus pour lequel le lubrifiant ne sera pas utile.. Barbara est aux anges, mais elle sait précisément ce qu’elle veut, moi aussi et c’est pour cette raison que je lui tends un préservatif. Elle s’atèle à la tâche, ce qui ne s’avère pas si simple avec mes préservatifs de taille standard, quand elle parvient à le mettre en place, la base de la capote ressemble à un cockring, et mes yeux ne peuvent s’en détacher.

Le sexe détrempé de Barbara commence à envelopper le gland de Dimitry, par de petit aller retour elle s’enfonce de plus en plus sur le pieu, cette dilatation me fascine et mon sexe durcit de plus bel.
Ange_Net_prise-en-double.jpgIl est temps pour moi de prendre place à genoux derrière Barbara, elle ondule si légèrement qu’elle paraît presque immobile, je présente mon gland sur son anus et commence la pénétration. Mon sexe, qui entre habituellement relativement facilement, se sent cette fois bien à l’étroit mais progresse tout de même jusqu'à disparaitre entièrement. Je commence alors un va et vient lent mais de grande amplitude, puis Barbara fait coulisser le sexe de Dimitry en elle. Son plaisir est palpable, le mien passant en grande partie par le sien atteint des sommets, de plus je sens le sexe de Dimitry au travers de la parois ce qui me stimule physiquement. Ma belle est au bord de l’orgasme, je donne quelques derniers coups de reins plus violents pour la faire décoller, elle explose de plaisir, et mon sperme se répand en elle. Elle reste empalée sur le sexe de Dimitry qui force un léger va et vient, mais connaissant Barbara, celui ci n’a plus grand effet.

Peu de temps s’écoule avant qu’elle reprenne ses esprits et laisse sortir le sexe toujours aussi gros de sa chatte, sa vulve est distendue et reste grand ouverte, encore luisante, j’ai l’impression de regarder un manga. Pour ne pas laisser notre invité en reste, elle entreprend une masturbation à deux mains et lèche bruyamment la cyprine restée sur le préservatif. Et c’est à ce moment que les paroles de Dimitry viennent sonner comme le glas aux oreilles de Barbara : « Ah ! Je me ferais bien un petit trou maintenant… ».
Ange_Net_SOS-597x450.jpgSes mains se figent, sa langue rentre dans sa bouche qui reste entrouverte, je lis un SOS dans ses magnifiques yeux bleus. Je réfléchis à la manière d’annoncer à Dimitry que ça ne va pas être possible, il nous observe, la tension doit être palpable. Il dit alors : « Mais je vais y aller en douceur, tranquillement avec beaucoup de lubrifiant. ». Puis soudainement Barbara reprend son massage, faisant ainsi regonfler le sexe qu’elle avait entre les mains et elle annonce paisiblement « OK ». Je la regarde avec surprise, Dimitry, lui gémis de plaisir, puis ma chérie tourne doucement son visage vers moi et me dit de sa voix douce, « tu devrais te préparer un peu mon Ange, sinon tu risques la déchirure… ». Devant mon air stupéfait, elle insiste « Aller, à genoux ! Et lubrifie bien ! ». Mon regard se tourne alors vers Dimitry qui vient de comprendre, et qui pour toute réponse fait un hochement d’épaule, visiblement ça lui convient. Je m’exécute donc et me voilà à genoux sur le lit avec le flacon de lubrifiant pour seul allier, J’en mets une bonne dose sur deux doigts et commence un massage de mon anus avant d’y enfoncer le premier doigt. Je remets une bonne quantité de produit pour faire pénétrer les deux suivants, et je pense au fait que je n’ai jamais été pris par un homme, c’est vrai j’aime le plaisir anal, mais je n’ai fait qu’utiliser des sextoys, et pour ma première fois c’est un véritable gourdin qui va visiter mon cul. Je commence un peu à stresser, je jette un œil à Barbara qui en profite pour passer à la vitesse supérieure, j’ai l’impression que le sexe de ce mec grossit encore… est-ce possible ? Mon regard va vers Dimitry qui semble alors se concentrer pour ne pas exploser, maintenant que je me suis fait à l’idée, je serais déçu si ça devait arriver.
A peine quelques secondes plus tard, ma chérie a du ressentir la même chose, car elle cesse de stimuler le sexe avec sa bouche, pour scander « Ca doit être bon là, on y va ».

Je me cambre légèrement, il présente son membre à l’orée de mon trou et Barbara le branle, elle veut vraiment que son chibre soit énorme pour moi, mais elle prend tout de même soin de moi car je sens du lubrifiant qui coule dans ma raie. Dimitry exerce une pression, son gland un peu plus petit entre sans trop de problème mais prend déjà beaucoup de place. Puis il continue à avancer, mon anus se dilate, j’ai l’impression que ma préparation est insuffisante. Ce qui me frappe c’est la chaleur qui se dégage de sa queue. Barbara est fascinée et ne se prive pas de commenter. Elle m’indique la progressions, il n’y en a qu’un quart qui est entré. Le membre continue de s’enfoncer me dilatant comme rarement je l’ai été. Une fois la première moitié passée, il commence à faire des va et vient. A chaque fois j’ai l’impression qu’il est plus gros, mais la part de douleur va en diminuant. De temps en temps j’entends la main de ma chérie qui va claquer sur les fesses de Dimitry, cette frappe se propage en moi par le coup de rein ainsi généré. Quand Barbara annonce que la totalité de l’engin est entrée, je ne sais plus ou j’en suis, les mains qui se posent sur mes hanches sont fermes, puis le mouvement s’accélère, les pénétrations sont de plus en plus violentes. Je n’en peux plus, quand trois coups de reins font s’enfoncer encore plus profond le membre qui n’a jamais été aussi gros, puis les râles de l’homme accompagnent les tressautements de son sexe dans mes entrailles. Je tombe sur le coté, j’ai pris un pied énorme, et c’est sous les caresses de Barbara que je reviens à moi, sa main qui va parfois inspecter l’ouverture de mon orifice me procure à nouveau du plaisir.

Dimitry prétexte qu’il doit se lever tôt demain pour partir rapidement, ce qui nous permet de rester en couple et finir la nuit enlacés l’un contre l’autre.

Par Ange - Publié dans : Histoires d'Ange
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Lundi 9 mai 1 09 /05 /Mai 10:29

Je n’ai plus tout les éléments chronologiques en tête, ce qui est sur c’est que Barbara connaissait déjà mes penchants pour les pratiques anales. Elle savait que tout les godes et butt plug disponibles à la maison avaient été testés, et exclusivement sur moi. Elle savait aussi que depuis plusieurs semaines nous étions tout le temps ensemble, donc que je n’avais que peu pratiqué.

Trêve de préambule, je reviens sur ce jour plein de surprise.

Nous sommes toujours très chauds, il suffit d’une étincelle pour que tout s’embrase. Tranquillement dans le salon, lors d’un échange de caresses, l’une d’elles, un peu plus appuyée peut être, déclenche un baisé fougueux. Nos mains passent sous les vêtements à la recherche de contact avec la peau.

Nos teeshirts volent, Barbara m’entraine dans la chambre, m’assoit sur le lit pour mieux retirer mon pantalon et mes sous-vêtements dans le même élan. Mon sexe, déjà bien dressé, est à la hauteur du visage de ma chère et ne tarde pas à prendre place dans sa bouche. Dans ces cas là je me laisse souvent porter et essaye de ne rien prévoir, cependant une foule d’image déferle dans ma tête, une pipe intégrale, une branlette avec éjaculation faciale, le goût de son sexe trempé que je lape, ou encore une levrette effrénée, mes coups de boutoir dans son anus, … Mais soudain elle me soulève les jambes pour mieux me lécher les couilles, l’alternance entre mes bourses et ma verge me trouble, en je ne suis pas en reste lorsque sa langue vient jouer autour de mon petit trou. C’est la première fois qu’on m’offre un pétale de rose, sa langue frétillante me fait décoller.

Pendant que sa bouche revient sur mon sexe, un doigt prend le relais de sa langue, massant délicatement le pourtour de ma rosette. De la salive coule sur mes couilles et le long de mon scrotum jusqu'à mon orifice afin de permettre à ce doigt de s’insinuer en moi par de petits va et vient.

Barbara m’ordonne de me mettre à genoux, et pendant que je m’exécute, elle en profite pour attraper le flacon de lubrifiant. Les fesses offertes je sens sa main qui caresse mes couilles et glisse le long de ma hampe. Je me concentre maintenant sur la fraicheur du gel coule le long de ma raie. D’un doigt de sa main libre, Barbara fait pénétrer le lubrifiant dans mon anus qui sous la sensation de froid se contracte légèrement. De son doigt habile, Barbara collecte le gel pour tout mettre dans mon anus qui apprécie la caresse. Cependant, je ne suis pas vraiment détendu car je n’ai pu me préparer et la crainte de l’accident trotte dans ma tête, mais fort heureusement une introduction un peu plus poussée me rassura. Elle opère désormais avec deux doigts pour mieux entraîner le lubrifiant dans mon fondement, mes muscles ont laissé passer sans encombre le nouveau visiteur. Barbara cesse de caresser ma queue pour attraper le flacon et ajouter une nouvelle dose de gel. A peine le produit versé qu’un troisième doigt ouvre plus largement mon anus. Malgré le plaisir incomparable, en mon fort intérieur, je me demande jusqu’ou elle compte aller. Pour le moment elle masse en enfonçant et en tournant ses longs doigts, elle admire son œuvre, elle commente la qualité de l’ouverture, et parfois écarte simplement mes fesses… Puis elle reprend avec deux doigts d’une main et un de l’autre, pour mieux étirer mon trente six fronces. Estimant l’ouverture suffisante c’est deux doigts de chaque main qui œuvrent pour m’élargir de plus en plus. Progressivement je sens mon trou qui s’ouvre, mais qui est toujours plein, je ne sais plus combien de doigts sont en moi.

Je me laisse bercer par ses caresses qui font onduler mon corps. Je sens que Barbara est de plus en plus étonnée, mais aussi de plus en plus excitée, alors je lui demande d’essayer de faire entrer son poing. Elle cherche visiblement comment mettre ses doigts pour ne pas me blesser, et me dit simplement qu’elle ne pense pas que ça passera. D’une main elle m’écarte une fesse, puis je sens ses phalanges qui massent mon anus dans de petits mouvements circulaires. Doucement mon trou s’ouvre et s’ajuste autour de ses doigts qu’elle pousse progressivement. Après ce somptueux massage sa main reste à la porte, mais nous sentons que le passage est difficile. Alors tout en maintenant la pression, elle m’annonce que ça ne sera surement pas pour ce soir. C’est peut-être ce qui est à l’origine de mon offensive, d’un coup de rein je me retrouve empalé sur son bras jusqu’au poignet. La petite pointe de douleur laisse rapidement place au plaisir procuré par son poing dans mes entrailles, elle le bouge délicatement, c’est divin. Ce plaisir est décuplé par les idées qui assaillent mon esprit, des images d’anus dilatés, une sensation d’avoir bravé un interdit, une nouvelle « première fois » réalisé avec ma chérie, la satisfaction d’avoir offert ça à Barbara, …

Heureux mais épuisé, après quelques va et vient elle retire son poing de mon cul et joue encore un peu avec ses doigts à l’entrée de mon orifice.

Je n'ai pas eu d'orgasme cette fois là, mais un plaisir si "profond" que ce jour reste gravé dans ma mémoire et dans mon corps, sa simple évocation éveille des désirs et j'ai l'impression de la sentir cette main en moi. 

Par gadgetOverso - Publié dans : Histoires d'Ange
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 10:30
Samedi dernier, dans des conditions un peu particulières (sur lesquelles je fais l'impasse), j'ai retrouvé des histoires écrites à Barbara depuis deux ans.
De temps en temps je lui rédige des textes qui mèlent réalité et fiction, fantasme et provocation, mes désirs et ses présumés désirs...
Je vous propose de découvrir le second de la liste, de nombreuses retouches étant à faire sur le premier avant de le publier :
Au bureau, tu as commencé à te faire une bonne amie, et de fil en aiguille vous déviez sur des sujets un peu plus chauds.
Nul doute, elle est mignonne, et son charme ne te laisse pas indifférente, c’est une occasion de connaître ses tendances.
La déception te gagne un peu car elle a un copain depuis presque un an et visiblement elle ne compte pas essayer les filles… d’ailleurs son expérience semble limitée.
Elle en vient doucement à parler de sodomie, elle aimerait bien essayer (ça confirme se que tu avais déjà pressenti) mais son homme est bien trop fortement membré, te dit-elle. Elle t’avoue même qu’elle n’ose pas aborder le sujet avec lui.
Tu entrevois déjà une solution, ton « craposhow » qui avec son petit calibre et la douceur dont il sait faire preuve pourrait être un bon moyen de l’emmener dans ton lit…
Tu lui glisses tendrement que moi c’est le contraire, mon sexe n’est pas gros mais que je sais fort bien m’en servir, que pour la sodomie c’est idéal… Un blanc ponctue la conversation, et vous commencez à discuter de la taille et la forme des sexes que vous avez eût l’occasion de voir (ou plus), etc… Puis rapidement vous repartez travailler
Ta fin de journée arrive, tu te prépares à partir, tu croises la jeune femme dans le hall d’entrée, elle te dit qu’elle est ravie de la discussion que vous avez eu quelques heures plus tôt, ni une ni deux tu lui demande à quelle heure elle finit (dans une heure et demi), elle a une voiture, tu lui proposes alors de venir boire un thé à la maison en contre partie elle devra faire le taxi…
Lorsque je rentre, tu me sautes au cou, visiblement chaude comme la braise, puis j’aperçois l’inconnue, et croise son regard qui me scanne de haut en bas et de bas en haut. Tu fais rapidement les présentations et me propose un thé.
L’heure avance, on lui propose de grignoter à la maison et l’invitons à convier son copain, elle nous précise qu’il n’est pas là ce soir, elle accepte donc avec plaisir notre invitation. Nous passons par la case apéro… elle est fan de Baileys… et le boit comme du petit lait, à son troisième verre ses pommettes commencent à rougir.
Nous passons rapidement au repas, plusieurs fois je constate que son regard parcoure mon corps lorsque je me lève et reviens m’asseoir.
Le repas se termine, je propose un digestif avec un reste de glace, tu proposes aussi un thé, elle accepte le thé en précisant que ce ne serait pas raisonnable de boire à nouveau, en faisant la moue… Bien entendu tu lui proposes la banquette lit pour la nuit, après une courte hésitation elle accepte et prend un Cognac…
L’heure avance, j’ai eu une grosse journée, je vous annonce que j’irais bien prendre une douche, la discussion part alors sur ce sujet, les douches le soir ou le matin, la fréquence, etc… pour en venir à la douceur de la peau… ton amie soupir en disant que ça ferait du bien une petite douche, et tu renchéris en disant que toi aussi finalement. N’ayant pas remis l’eau à chauffer, je vous invite à y aller avant moi.
Elle passe en premier, pendant que tu vas lui chercher une serviette et que je commence à prendre les draps pour la banquette, elle se glisse sous la douche, on entend l’eau couler. Je vais dans la salle avec mes draps et toi tu frappes doucement à la porte de la salle de bain pour lui donner la serviette, tu entres et n’en perds pas une miette. Je commence à mettre les draps en place et vous entends rigoler. Tu me clames que tu vas aussi sous la douche, quelques images me viennent en tête… tu me connais. J’ai presque finit mon labeur quand j’entends ta voix qui me demande de venir, je demande pourquoi, mais pas de réponse, alors je m’approche, je frappe tu me dis d’entrer, je vous aperçois au travers du rideau, à distance raisonnable l’une de l’autre et je baisse rapidement le regard pour ne pas importuner notre invitée. Tu me dis de vite venir car il ne va plus y avoir d’eau chaude et que vous avez envie de traîner un peu sous la douche… Je me vois pas entrer sous la douche comme ça, avec notre invitée nue, je me sens mal à l’aise. Avec ton coté provocateur tu scandes : « Ne t’inquiète pas, elle sait déjà que tu as une petite bite » et à ta parole tu lies un geste qui m’invite à venir… je relève le nez, la regarde, elle m’observait, elle se ferme un peu et son regard se détourne de moi, comme une invitation à vaincre ma pudeur et ma timidité. Après tout elle est nue sous mes yeux et je n’en fait pas cas, alors pourquoi pas, je me tourne légèrement, retire mon T-shirt et entend ton « hmmm » à la vue de mes poils. Je descends mon pantalon en prenant soin de faire glisser mon string en même temps, ma position est calculée, je n’ai pas envie qu’elle voit mon sexe, ni de lui présenter mon postérieur. Je me redresse et vois son regard qui est revenu sur moi.
J’entre maintenant dans la douche par ta main qui me tire, mes mains viennent naturellement caresser ton corps et je vois les tiennent qui se dirigent, pleines de savon, vers le dos de cette jeune et charmante femme. Nos yeux n’en perdent pas une miette et notre regard glisse sur sa peau en suivant les petits cours d’eau que forme la douche. La séance s’achève rapidement interrompue par l’eau chaude disparue.
Nous sortons rapidement de la douche, presque grelottant, pudiquement je file dans la chambre pour mettre un short, et à l’ouverture de la porte je sens que tu avais prévu ce moment, car une vague de chaleur m’enveloppe. Le chauffage tournait plein pot, j’ai du réagir bruyamment car aussitôt tu me pousses pour entrer, en tenant ton amie par la main, et vous vous précipitez sous la couette… Je demande alors si je dois aller me coucher dans le salon et en cœur vous me répondez que non et tu soulèves un coin de la couette.
Nous voilà tous trois nus dans le lit, je suis sur le ventre et tu me caresses le dos. Nous commençons à discuter de la situation quelque peu cocasse. Notre invitée semble finalement gênée et nous avoue ne plus oser ni bouger ni se lever car toute nue et que sa serviette est restée dans la salle de bain, tu lui dis que finalement c’est peut être le bon moment pour essayer… elle te regarde avec de grands yeux interrogateurs, moi je me retourne ne comprenant rien et ta main effleure mon sexe qui réagit par un léger soubresaut. Tu commences à m’expliquer : « cette après midi, elle me disait qu’elle aimerait essayer la sodomie mais en douceur, je lui ai répondu que tu savais vraiment bien t’y prendre », mon sexe se raidit rapidement, et tu ajoutes en te retournant pour t’adresser à elle, « regarde ! » en relevant la couette, « ça serait dommage de laisser passer une si belle occasion ». Ca doit être mon sexe dressé l’occasion…
L’excitation réchauffe, la couette vole et tu te mets entre mes jambes et commence à me sucer, je te regarde fixement, n’osant pas croiser le regard de notre invitée, finalement je ferme les yeux pour savourer ce que tu me fais, rapidement je sens bouger à ma gauche et une main tremblant qui touche ma cuisse gauche, contacte qui devient caresse, ta bouche quitte mon sexe, puis quelques secondes après y revient, la main aventureuse arrive sur mes couilles. Je suis si raide, je me concentre pour ne pas venir trop rapidement… je sais que le ridicule ne tue pas mais j’aimerais profiter de la soirée. Ta bouche libère à nouveau mon membre et une sensation nouvelle naît sur mon sexe, je n’ose y croire, j’ouvre les yeux et je vois vos deux langue qui caressent ma queue qui se raidit encore, j’ai l’impression qu’elle va éclater.
Tu t’écartes et notre amie en profite pour prendre ma queue en bouche, je constate ainsi qu’elle a moins d’expérience que toi, mais le plaisir est tout de même au rendez-vous. Tu t’es levée, elle prend donc place entre mes jambes, je n’aurai jamais imaginé que tu puisses la laisser me sucer seule, tu viens t’allonger à ma gauche les pieds à coté de mon visage, je lèche ta cheville et commence à caresser ton mollet et remonter en arabesques jusqu'à ton sexe, tout trempé soit dit en passant, et commence à jouer avec mes doigts… c’est à ce moment que tu nous fait part de ton envie de cuni.
Voulant satisfaire ton envie, et sentant mon sexe presque douloureux tellement gorgé de sang ces dernières minutes, je commence à me courber, la nouvelle venue dans nos ébats libère mon sexe ce qui me permet de me faufiler entre tes jambes et ainsi laisser ma langue agir sur les contours de ton sexe, puis laper directement à la source… la petite ingénue vient voir de plus près ce qui se passe, je lève la tête, mes doigts prennent le relais dans ta chatte, puis sortent recouvert de ta mouille. Je les tends vers la bouche de notre amie qui du bout de la langue vient les goutter, puis les prend en bouche goulûment. Pendant ce temps ma langue est retournée officier.
A nouveau je me retire et invite le nouveau visage à s’approcher, les joues rouges et le regard inquiet, elle est visiblement complètement inexpérimentée dans ce domaine. Je lui prodigue donc quelques conseilles et lui indique avec les doigts la fameuse zone que tu apprécies tant. Elle est bonne élève et semble prendre goût à cette nouveauté.
Je prends un peu de recule et observe ce délicieux spectacle sans dire un mot.
Une expression me revient en tête : « tu pratiques la sodomie » et pense au fait qu’elle peut être interprétée dans les deux sens… de la même manière que « j’ai envie d’un cuni » et les grands esprits doivent se rencontrer car ta main guide un genou de sorte que tu ais pleine vue sur l’intimité de notre invitée. Rapidement, de là ou je suis j’entends le bruit que fait ta bouche sur le sexe offert. Les ondulations de son corps trahissent son plaisir. Je me lève pour venir voir ce nouveau spectacle.
Tes yeux grands ouverts plein de mille étincelles vont de son sexe à mon visage, comme une invitation, alors mes mains se posent sur ses fesses, remontent sur ses reins, puis caressent son dos, reviennent sur son cul et massent délicatement les deux fesses. J’écarte pour mieux voir la corolle de son petit trou, mes deux pouces font des massages circulaires pour détendre l’anus, puis c’est au tour de ma langue de venir taquiner son orifice.
Avec mes deux pouces j’écarte doucement afin de commencer à ouvrir le trou, puis je retourne jouer avec ma langue, l’enfonçant chaque fois de plus en plus, elle commence à gémir. Toi tu te tortilles pour sortir de dessous son corps, puis tu la guides pour qu’elle remonte plus haut dans le lit, il faut alors que je monte à nouveau sur le lit, à genoux derrière elle, mon sexe érigé, tu attrapes une capote que tu me tends, ainsi que du lubrifiant, tu me suces un peu pendant que je lui dépose une bonne dose de gel à l’entrée du trou. Mon indexe titille son anus, ma première phalange est entrée, tu relèves la tête pour profiter du spectacle. Une fois ma seconde phalange entrée, je fais de petits mouvements pour la détendre, de ton coté tu la caresses et lui parles, lui demandant si tout va bien, à l’expression de son visage tu es certaine que oui. Je fais maintenant de petits aller retour pour bien lubrifier l’intérieur, et mon doigt pénètre un peu plus profondément, ta main gauche vient soupeser mes couilles et les masser tendrement afin de maintenir mon érection.
Je retire mon doigt et en présente deux désormais, je force légèrement en faisant de petit mouvements circulaires afin de dilater progressivement le trou de notre amie. Mes doigts s’enfoncent au fur et à mesure, voyant cela tu viens redonner quelques coups de langue à ma queue, qui est bien dressée, puis tu poses tes mains sur chacune de ses fesses, les écartes bien et laisse couler un peu de salive que je fais pénétrer avec mes doigts, je me retire pour enfiler le préservatif, tu remets ta touche personnelle en crachant sur le trou, de mon coté j’ajoute un peu de lubrifiant sur la capote.
Tout est prêt à présent, je présente mon sexe, regarde ton air ravi, et exerce désormais la pression suffisante à la pénétration, il n’en résulte pas de râle, plutôt même une ondulation qui m’invite à y aller un peu plus franchement, plus de la moitié de mon sexe est dans son cul, je recule et commence un lent va et vient, en quelques mouvements mon sexe pénètre entièrement la miss qui visiblement y prend du plaisir.
Tu lâches ses fesses et te redresses pour mieux appréhender la scène. Tu lui demande si c’est bon, un oui presque plaintif sort de sa bouche. Tu lui dis alors que quitte à prendre des plaisirs nouveau, on va pousser l’expérimentation un peu plus loin… en te voyant te lever, je devine rapidement que tu veux lui faire connaître un plaisir que tu as déjà eu. Mon idée se confirme lorsque tu ouvres le placard, puis le tiroir pour en sortir le gode share. Pendant que tu te prépares, je sors mon sexe, crache à mon tour dans son trou, fait courir ma langue autour de son anus qui reste légèrement ouvert, puis mon sexe retourne dans son écrin. Tu t’allonges maintenant à son coté le gode share vaillant, je ne suis pas sur qu’elle réalise ce qui se passe, je sors donc mon sexe et fait pression sur son flanc droit afin qu’elle vienne se positionner au dessus de toi. Cette fois c’est bon, l’hésitation qu’elle a marqué confirme qu’elle à bien compris, elle passe les doigts sur sa chatte, écarte ses lèvres et fait pénétrer le gros gode sans sourciller. Je vois sa chatte qui s’écarte autour de l’objet phallique, chaque petit bourrelet (NDLR : version XL du gode share de Fun Factory) qui entre est magnifique à voir, et lorsqu’elle soulève son bassin pour faire ressortir le chibre noir, je peux constater que la lubrification naturelle est parfaite. La sodomie l’a faite mouiller abondamment. Je profite un certain temps du spectacle, c’est aussi pour moi l’occasion de me reposé car le n’étais pas loin d’éjaculer. Il est quand même temps de lui procurer sa première double pénétration, alors je lubrifie ma capote avec de la salive et lèche rapidement son petit trou qui semble détendu. J’entre à nouveau dans son antre, c’est incroyable comme les sensations sont différentes avec le gode share qui a pris place dans le vagin. Quelques mouvements suffisent à lui arracher des cris de jouissance, son corps tressaille quelques longues secondes avant de s’avachir sur toi. Je me retire alors rapidement afin de te libérer, elle roule sur le coté et toi tu retire rapidement ma capote et enfourne ma queue dans ta bouche, ta langue agile et ta main qui me malaxe les boules me font venir rapidement dans ta bouche, et tu avales tout, fièrement en te retournant vers elle.
On s’allonge ainsi tout les trois pour finir la nuit, blotti les uns contre les autres mais cette fois c’est toi qui est au milieu…
"
Si ce texte vous plait, faite le moi savoir, j'en ai une dixaine en réserve...
Par Ange - Publié dans : Histoires d'Ange
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Vendredi 1 mars 5 01 /03 /Mars 23:55

J'avais besoin de faire une pause, ce bar avait l'air très bien. J'y suis entré et ai commandé un CocaCola Light, il me restait encore de la route. Ils ont un menu rapide "Steack frites", idéal pour m'éviter de faire à manger en rentrant.

L'atmosphère était détendue, il y avait des jeunes, des moins jeunes, une population majoritairement masculine mais pas exclusivement.

Ange_Net_Enola_Fourrure_001.jpgJe finissais mon assiète lorsque cette femme entra, le niveau sonore baissa soudainement pour reprendre quelques instant plus tard. Des regards restaient figés sur elle. Elle était en fin de trentaine, elle mesurait au moins 1,70 m sans compter les talons de ses chaussures noires, simples et cependant très sexy mettant en valeur ses chevilles et le galbe de ses jambes. Ses jambes étaient recouvertes de nylon noir et disparaissaient un peu au dessus des genoux sous un manteau de fourure noire aussi. Son visage était frais, encadré par des cheveux foncés, mi longs et soigneusement coiffés. Ceux sont ses mains qui m'ont permis d'estimer son age, peut être aurais-je du l'évaluer à plus de quarante ans mais ma correction me l'a interdit.

Elle s'asseya au comptoir, gardant sa fourure, c'est peut être cela qui a attisé ma curiosité. Mes yeux sont reparti de ses chaussures pour courir sur ses jambes admirables. Une de ses cuisses passait par l'ouverture de son manteau rendant la scène très érotique, et quand je vis le haut de son bas les images envoyées par mon imagination sont devenues torides.

Ces visions furent certainement à l'origine du déclic pour un premier contact avec l'inconnue en fourure. Alors je me lève et accoste la femme par un simple :  
"Bonsoir, je ne voudrais pas vous déranger mais c'est naturel ou artificiel ?"   
Elle me réponds :
"Vous parlez de la fourure ?"
"Bien sur, pour le reste j'ai peu de doutes de me tromper en disant que c'est naturel"
"Elle est artificielle c'est un peu moins doux que le naturel mais tellement plus humain... touchez"
J'approche la main, et caresse le manteau.
Au moment ou je retire la main elle l'attrape et me dit :
"Mais il faut comparer pour se rendre compte..."

D'un hochement de tête j'acquiesse, sa main entraine donc la mienne à la lisière de son bas pour que je puisse aprecier la douceur de sa peau. Et si elle a cessé de me guider, ma main continue son chemin jusqu'a atteindre la dentelle d'un sous vêtement.  Mon index remonte le long du creux de l'aine, l'effet de cette caresse est palpable. Puis, je ressors tranquilement ma main de son manteau.
"En effet, le naturel est très agréable..."
Nous finissons nos verres, je recommande la même chose pour moi et lui offre une seconde vodka

La conversation repart sur des sujets moins évocateurs, je glisse qu'il me reste encore une heure de route et évoque ma lassitude à faire cette route quotidienne, à son tour elle glisse qu'elle trouve la ville trop petite et qu'elle aprécie de voir de nouvelles têtes. Une demi heure s'écoule avant qu'elle m'annonce que le bar fermera ses portes prochainement et m'invite à venir parler de douceur naturelle chez elle, me proposant aussi d'utiliser en tout bien tout honneur le canapé si la fatigue me gagne.

Quelques minutes de marche plus tard, elle me fait entrer dans son appartement spatieux et décoré avec talent, sobre et chaud à la fois, elle ferme le vérrou et prend même soin de mettre une chaine de sécurité.
"Souhaitez vous à boire ? En revanche je n'ai pas de Coca"
"Je vous accompagnerais bien avec de la vokda"
Ce qui peut aisément être interprété comme une promesse de rester dormir chez elle.

Ange_Net_Enola_Chez-elle_sous-vetements-de-dos.jpgElle se retourne, puis tout en se dirigeant vers le meuble ou sont stockées les boissons elle retire son manteau dévoilant son corps désormais uniquement sublimé par des sous-vêtements de qualité.
Après avoir servit les verres, elle revient tout sourire, certaine de son effet. Elle n'a pas vraiment tort étant donné l'état de mon sexe dans mon pantalon. Ce qu'elle ne sais pas encore c'est que son atitude a déclanché en moi, outre mon érection, une envie de domination totale. Lorsqu'elle me tend mon verre je prends gard de ne pas établir le contacte, elle s'assoit dans le canapé, et je m'installe en face d'elle dans le fauteuil, c'est alors qu'elle se contente de lancer un "Alors ?".

Je laisse le silence s'étendre et peser, elle reprend donc en précisant "Est ce à votre gout ?". Alors je porte le brevage à mes lèvres et après avoir une petite gorgée de vokda je réponds :
" Très bon, mais j'aime avoir le contrôle...Pour la vodka, j'aime quand elle est bien froide et que j'en fait monter la température au creux mes mains."

Et sur ces paroles, je pose le verre et me lève et en me dirigeant vers la porte. Je lui précise que si elle souhaite qu'on discute un peu plus la prochaine fois il serait bon que la vodka soit au frais et qu'elle porte un collier de chien...
Elle reste bouche bée alors que je sorts de l'appartement. Dans l'escalier je croise un homme qui semble se diriger vers son appartement mais il est temps pour moi de reprendre la route.  

 

Par Ange - Publié dans : Histoires d'Ange
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