Mardi 4 décembre
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23:19
C'est un moment de détente, de passion, de stimulation de l'imagination. Parfois aussi ça incite à la recherche, la vérification. Ou encore, ça permet de faire
passer des messages, de faire des premiers pas, ...
Je vous propose ces lignes brutes de décoffrage, écrite à la va vite pendant les pauses au boulot...
"
Cela fait une heure que nous roulons, nous sommes en direction de l'arriège mais je ne connais pas la destination... Tout à commencé il y a plusieurs mois , une
rencontre inopinée sur internet, des échanges cordiaux et intrigués d'abords, puis de plus en plus sulfureux. Je ne connais pas grand chose d'elle, tout juste deux photos que j'ai eu bien du mal
à lui soutirrer mais cependant elle m'a exposé sans pudeur une bonne partie de ses désirs les plus intimes. Elle connais de moi, des blogs ou j'expose diverses parts de ma personne, de nombreuses
photos plus ou moins intimes, mes réactions à ses messages et mon imagination pour la stimuler. Chauffés par nos mails, attisés par nos photos, notre envie de rencontre à grandie. Il y a deux
semaine elle ma annoncé qu'elle venait à Toulouse, mais qu'elle ne serait disponible que demain car elle devait voir des amies avant. J'avais bien tenté de me faire inviter, mais rien à faire...
Qu'elle ne fut pas ma surprise quand son SMS ma sorti de mon travail. "Tu fait quoi cette après-midi ?", "Normalement je travail...", "Tu peux te libérer ?", "Pour toi... bien sur", "Ok, Je te
récupère au métro Rammonville à 14h15. Fais toi tout propre... partout partout ;-)" ... Et me voilà dans sa voiture à l'admirrer et à me poser plein de questions...
Franchement, elle est plus belle qu'en photos, en tout cas elle a beaucoup de charme. Je tente bien de savoir ou nous allons mais elle me fait comprendre que je le saurai bien assez tôt. J'allais
poser une nouvelle question, mais elle met son clignotant pour s'engager dans un petit chemin. Je reste silencieux. Elle sort, fait le tour du véhicule et ouvre ma porte. Puis elle m'ordonne de
sortir et de me déshabiller, nous sommes à l'abris des regards, elle recule de quelques mettre, je me lance, elle sort alors un appareil photo pour saisir mon effeuillage. La petite hésitation
avant de retirer le dernier rampart à ma nudité intégrale vole en éclat sous son regard enflammé et à la vue de sa main qui glisse sur son corps. Mes vêtements posés sur le siège avant, je prends
diverses poses avant de commencer à m'approcher d'elle... Elle me stoppe net en scandant une nouvelle consigne, il faut que je mette mes vêtements dans le coffre. Surpris, je suis cependant
serein car elle se tient toujours à distance de la voiture. Son exitation est palpable, je sens mon sexe qui se gorge légèrement de sang. Elle s'approche de moi et par le sexe me promène jusqu'a
la porte passager restée ouverte. Les mouvements de sa main me font bander. Elle m'ordonne d'entrer, puis ferme la porte. Elle fait le tour de la voiture pour se remettre au volant, ferme sa
porte et m'invite à boucler ma ceinture ajoutant qu'on ne sait jamais avec la police qui est partout de nos jours...
Nous reprenons la route alors que je suis nu comme un ver, même pas un bout de tissu pour me cacher un peu. Mon stress monte lorsque nous croisons la première voiture. Etrangement mon sexe
reprend de la vigueur. S'apercevant de celà, ma pilote saisi mon membre et commence une lente masturbation. Le véhicule ralenti, je cherche au loin une route ou un chemin qui pourait être notre
route, mais rien en vu. Ce n'est qu'au moment ou une voiture nous dépasse que je comprend la manoeuvre. La passagère jette un oeil légèrement surpris, elle n'a pu voir que mon torse, puis je vois
que le chauffeur regarde attentivement dans le rétroviseur. Nous roulons ainsi quelques minutes, croisant quelques véhicules et dépassant même un tracteur. Je suis à l'aise, mon sexe bande et
débande au grès des caresses. Je me tends à nouveau alors que nous arrivons dans un village, heureusement presque désert car elle respecte scrupuleusement la limitation de vitesse. Juste avant
d'en sortir elle tourne à droite, longe quelques maison pour poursuivre la route qui devient chemin. Encore quelques mètres et nous empruntons une allée bordée d'arbre, au bout se trouve une
magnifique deumeure...
Moment de vérité, elle sort et me fait signe de la suivre vers l'entrée de la batisse qui est visiblement habitée. Je me decide à la rejoindre à grand pas sur les graviers. Elle frappe, et une
femme ouvre et me scrutte en ajoutant d'un air surpris "très bien ! il ne manquait plus que toi et en plus tu en as trouvé un ! T'es pleinne de surprise... entrez!". A l'intérieur, trois femmes
habillées avec classe sont installées dans des canapés pendant qu'un homme, debout et nu, prend des notes sur un carnet. Notre entrée crée le silence, alors "Virginie" me présente sous le nom de
"Victor", visiblement elle ne connais personne en vrai et personne ne connais sont vrai prénom... Une fois les présentations faites, "Gerard" termine sa commande de thés et de gateaux, et me
demande si je veux le suivre, il me serait impossible de refuser. Dans la cuisine je comprend rapidement qu'il ne faut pas parler mais s'affairer à préparer les gateaux. Alors que nous
mélangeons, dosons ou pétrissons, tour à tour chacune des femmes vient au rapport n'hésitant pas laisser tranner leur mains sur nos corps. L'une d'elle me malaxe fermement les fesses, et il n'est
pas rare d'entendre des chuchotements ou ricanements venir du salon. Il nous faut une bonne demi-heure de préparation avant de pouvoir apporter la commande. Une fois le service terminé, nous
restons debout, légèrement en retrait. Lui est à coté de celle qui l'a appelé "mon sucre d'orge", et moi je suis entre deux inconnues et sous le regard amusée de mon internaute...
"
Ceci n'est que fiction, mais je suis volontaire ;-)