Dimanche 7 octobre
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23:56
Alors que je bricolais... Bah oui, quoi de plus banal pour un mec...
Lorsqu'il y a un abat jour à poser au plafond je suis présent...
Je prévois le petit tournevisse qui va bien et l'escabeau trois marches,
Je grimpe, retire la vielle ampoule, suivie de près par la couille...
Je prendre en main l'abat jours, grimpe, le tien à bout de bras,
Ma main libre manipulant tant bien que mal le tournevisse,
Et là, je sens une main qui palpe mes fesses à travers le tissu,
Une seconde remonte sur ma cuisse et se hasarde sous mon short,
L'absence de sous vêtement fut rapidement démasquée,
Le contacte chaud sur mes bourses lisses me fait frissonner,
Le poid de l'abat jour se fait de plus en plus présent,
Je ne sais plus quoi faire, descendre et reporté le bricolage,
Ou m'abandonner aux douces caresses sans mots dire...
De petits coups de dents sur mon fessier me font tressauter,
Rapidement les mains balladeuses font glisser mon short,
Le souffle chaud sur ma peau nue fait bouillir mon corps.
Toujours les bras en l'air, la douleur est plus que naissante,
Mais pour une fois je sais ou passe le manque d'afflux sanguin,
Je parviens à poser une visse, soulangeant une partie du poids.
Les mains passent entre mes cuisses pour palper ma verge,
Elle est désormais fièrement dressée à hauteur de visage,
Les mains contournent mon corps dans un manège divin,
Et bientôt mon sexe est enrobé de la moiteur d'une bouche,
Les mains cramponnées à mes fesses maintiennent l'équilibre,
Pendant que les vas et vients se font de plus en plus gourmands
Les mouvements de langue se propagent dans cette gorge,
Dans les profondeurs ou mon gland restes logé quelques instants,
Dans un dernier élan je parviens à engager la deuxième visse,
Dans quelques tours qui seront difficile à réaliser je serais libéré.
Sentant le moment venir, la fréqence des coups de tête augmente,
L'amplitude aussi, mon sexe est gonflé comme rarement,
Tout les muscles de mon corps se tendent, ma respiration se coupe,
Les ongles s'enfoncent et griffent mes fesses bien dures,
La bouche engloutie bruyament mon sexe jusqu'a la garde,
Ainsi je me libère, ma semence envahit la gorge chaude,
Je vois des étoiles, mes jambes ne me tiennent plus, ...
Mes bras redescendent enfin, ballant le long de mon corps,
Le reste du bricolage attendra la fin du repos salvateur...