Je n’ai plus tout les éléments chronologiques en tête, ce qui est sur c’est que Barbara connaissait déjà mes penchants pour les pratiques anales. Elle savait que tout les godes et butt plug disponibles à la maison avaient été testés, et exclusivement sur moi. Elle savait aussi que depuis plusieurs semaines nous étions tout le temps ensemble, donc que je n’avais que peu pratiqué.
Trêve de préambule, je reviens sur ce jour plein de surprise.
Nous sommes toujours très chauds, il suffit d’une étincelle pour que tout s’embrase. Tranquillement dans le salon, lors d’un échange de caresses, l’une d’elles, un peu plus appuyée peut être, déclenche un baisé fougueux. Nos mains passent sous les vêtements à la recherche de contact avec la peau.
Nos teeshirts volent, Barbara m’entraine dans la chambre, m’assoit sur le lit pour mieux retirer mon pantalon et mes sous-vêtements dans le même élan. Mon sexe, déjà bien dressé, est à la hauteur du visage de ma chère et ne tarde pas à prendre place dans sa bouche. Dans ces cas là je me laisse souvent porter et essaye de ne rien prévoir, cependant une foule d’image déferle dans ma tête, une pipe intégrale, une branlette avec éjaculation faciale, le goût de son sexe trempé que je lape, ou encore une levrette effrénée, mes coups de boutoir dans son anus, … Mais soudain elle me soulève les jambes pour mieux me lécher les couilles, l’alternance entre mes bourses et ma verge me trouble, en je ne suis pas en reste lorsque sa langue vient jouer autour de mon petit trou. C’est la première fois qu’on m’offre un pétale de rose, sa langue frétillante me fait décoller.
Pendant que sa bouche revient sur mon sexe, un doigt prend le relais de sa langue, massant délicatement le pourtour de ma rosette. De la salive coule sur mes couilles et le long de mon scrotum jusqu'à mon orifice afin de permettre à ce doigt de s’insinuer en moi par de petits va et vient.
Barbara m’ordonne de me mettre à genoux, et pendant que je m’exécute, elle en profite pour attraper le flacon de lubrifiant. Les fesses offertes je sens sa main qui caresse mes couilles et glisse le long de ma hampe. Je me concentre maintenant sur la fraicheur du gel coule le long de ma raie. D’un doigt de sa main libre, Barbara fait pénétrer le lubrifiant dans mon anus qui sous la sensation de froid se contracte légèrement. De son doigt habile, Barbara collecte le gel pour tout mettre dans mon anus qui apprécie la caresse. Cependant, je ne suis pas vraiment détendu car je n’ai pu me préparer et la crainte de l’accident trotte dans ma tête, mais fort heureusement une introduction un peu plus poussée me rassura. Elle opère désormais avec deux doigts pour mieux entraîner le lubrifiant dans mon fondement, mes muscles ont laissé passer sans encombre le nouveau visiteur. Barbara cesse de caresser ma queue pour attraper le flacon et ajouter une nouvelle dose de gel. A peine le produit versé qu’un troisième doigt ouvre plus largement mon anus. Malgré le plaisir incomparable, en mon fort intérieur, je me demande jusqu’ou elle compte aller. Pour le moment elle masse en enfonçant et en tournant ses longs doigts, elle admire son œuvre, elle commente la qualité de l’ouverture, et parfois écarte simplement mes fesses… Puis elle reprend avec deux doigts d’une main et un de l’autre, pour mieux étirer mon trente six fronces. Estimant l’ouverture suffisante c’est deux doigts de chaque main qui œuvrent pour m’élargir de plus en plus. Progressivement je sens mon trou qui s’ouvre, mais qui est toujours plein, je ne sais plus combien de doigts sont en moi.
Je me laisse bercer par ses caresses qui font onduler mon corps. Je sens que Barbara est de plus en plus étonnée, mais aussi de plus en plus excitée, alors je lui demande d’essayer de faire entrer son poing. Elle cherche visiblement comment mettre ses doigts pour ne pas me blesser, et me dit simplement qu’elle ne pense pas que ça passera. D’une main elle m’écarte une fesse, puis je sens ses phalanges qui massent mon anus dans de petits mouvements circulaires. Doucement mon trou s’ouvre et s’ajuste autour de ses doigts qu’elle pousse progressivement. Après ce somptueux massage sa main reste à la porte, mais nous sentons que le passage est difficile. Alors tout en maintenant la pression, elle m’annonce que ça ne sera surement pas pour ce soir. C’est peut-être ce qui est à l’origine de mon offensive, d’un coup de rein je me retrouve empalé sur son bras jusqu’au poignet. La petite pointe de douleur laisse rapidement place au plaisir procuré par son poing dans mes entrailles, elle le bouge délicatement, c’est divin. Ce plaisir est décuplé par les idées qui assaillent mon esprit, des images d’anus dilatés, une sensation d’avoir bravé un interdit, une nouvelle « première fois » réalisé avec ma chérie, la satisfaction d’avoir offert ça à Barbara, …
Heureux mais épuisé, après quelques va et vient elle retire son poing de mon cul et joue encore un peu avec ses doigts à l’entrée de mon orifice.
Je n'ai pas eu d'orgasme cette fois là, mais un plaisir si "profond" que ce jour reste gravé dans ma mémoire et dans mon corps, sa simple évocation éveille des désirs et j'ai l'impression de la sentir cette main en moi.
Novembre 2024 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | ||||||||
4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | ||||
11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | ||||
18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | ||||
25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | |||||
|