Au bureau, tu as commencé à te faire une bonne amie, et de fil en aiguille vous déviez
sur des sujets un peu plus chauds.
Nul doute, elle est mignonne, et son charme ne te laisse pas indifférente, c’est une occasion de
connaître ses tendances.
La déception te gagne un peu car elle a un copain depuis presque un an et visiblement
elle ne compte pas essayer les filles… d’ailleurs son expérience semble limitée.
Elle en vient doucement à parler de sodomie, elle aimerait bien essayer (ça confirme se
que tu avais déjà pressenti) mais son homme est bien trop fortement membré, te dit-elle. Elle t’avoue même qu’elle n’ose pas aborder le sujet avec lui.
Tu entrevois déjà une solution, ton « craposhow » qui avec son petit calibre
et la douceur dont il sait faire preuve pourrait être un bon moyen de l’emmener dans ton lit…
Tu lui glisses tendrement que moi c’est le contraire, mon sexe n’est pas gros mais que
je sais fort bien m’en servir, que pour la sodomie c’est idéal… Un blanc ponctue la conversation, et vous commencez à discuter de la taille et la forme des sexes que vous avez eût l’occasion
de voir (ou plus), etc… Puis rapidement vous repartez travailler
Ta fin de journée arrive, tu te prépares à partir, tu croises la jeune femme dans le
hall d’entrée, elle te dit qu’elle est ravie de la discussion que vous avez eu quelques heures plus tôt, ni une ni deux tu lui demande à quelle heure elle finit (dans une heure et demi), elle
a une voiture, tu lui proposes alors de venir boire un thé à la maison en contre partie elle devra faire le taxi…
Lorsque je rentre, tu me sautes au cou, visiblement chaude comme la braise, puis
j’aperçois l’inconnue, et croise son regard qui me scanne de haut en bas et de bas en haut. Tu fais rapidement les présentations et me propose un thé.
L’heure avance, on lui propose de grignoter à la maison et l’invitons à convier son
copain, elle nous précise qu’il n’est pas là ce soir, elle accepte donc avec plaisir notre invitation. Nous passons par la case apéro… elle est fan de Baileys… et le boit comme du petit lait,
à son troisième verre ses pommettes commencent à rougir.
Nous passons rapidement au repas, plusieurs fois je constate que son regard parcoure
mon corps lorsque je me lève et reviens m’asseoir.
Le repas se termine, je propose un digestif avec un reste de glace, tu proposes aussi
un thé, elle accepte le thé en précisant que ce ne serait pas raisonnable de boire à nouveau, en faisant la moue… Bien entendu tu lui proposes la banquette lit pour la nuit, après une courte
hésitation elle accepte et prend un Cognac…
L’heure avance, j’ai eu une grosse journée, je vous annonce que j’irais bien prendre
une douche, la discussion part alors sur ce sujet, les douches le soir ou le matin, la fréquence, etc… pour en venir à la douceur de la peau… ton amie soupir en disant que ça ferait du bien
une petite douche, et tu renchéris en disant que toi aussi finalement. N’ayant pas remis l’eau à chauffer, je vous invite à y aller avant moi.
Elle passe en premier, pendant que tu vas lui chercher une serviette et que je commence
à prendre les draps pour la banquette, elle se glisse sous la douche, on entend l’eau couler. Je vais dans la salle avec mes draps et toi tu frappes doucement à la porte de la salle de bain
pour lui donner la serviette, tu entres et n’en perds pas une miette. Je commence à mettre les draps en place et vous entends rigoler. Tu me clames que tu vas aussi sous la douche, quelques
images me viennent en tête… tu me connais. J’ai presque finit mon labeur quand j’entends ta voix qui me demande de venir, je demande pourquoi, mais pas de réponse, alors je m’approche, je
frappe tu me dis d’entrer, je vous aperçois au travers du rideau, à distance raisonnable l’une de l’autre et je baisse rapidement le regard pour ne pas importuner notre invitée. Tu me dis de
vite venir car il ne va plus y avoir d’eau chaude et que vous avez envie de traîner un peu sous la douche… Je me vois pas entrer sous la douche comme ça, avec notre invitée nue, je me sens
mal à l’aise. Avec ton coté provocateur tu scandes : « Ne t’inquiète pas, elle sait déjà que tu as une petite bite » et à ta parole tu lies un geste qui m’invite à venir… je
relève le nez, la regarde, elle m’observait, elle se ferme un peu et son regard se détourne de moi, comme une invitation à vaincre ma pudeur et ma timidité. Après tout elle est nue sous mes
yeux et je n’en fait pas cas, alors pourquoi pas, je me tourne légèrement, retire mon T-shirt et entend ton « hmmm » à la vue de mes poils. Je descends mon pantalon en prenant soin
de faire glisser mon string en même temps, ma position est calculée, je n’ai pas envie qu’elle voit mon sexe, ni de lui présenter mon postérieur. Je me redresse et vois son regard qui est
revenu sur moi.
J’entre maintenant dans la douche par ta main qui me tire, mes mains viennent
naturellement caresser ton corps et je vois les tiennent qui se dirigent, pleines de savon, vers le dos de cette jeune et charmante femme. Nos yeux n’en perdent pas une miette et notre regard
glisse sur sa peau en suivant les petits cours d’eau que forme la douche. La séance s’achève rapidement interrompue par l’eau chaude disparue.
Nous sortons rapidement de la douche, presque grelottant, pudiquement je file dans la
chambre pour mettre un short, et à l’ouverture de la porte je sens que tu avais prévu ce moment, car une vague de chaleur m’enveloppe. Le chauffage tournait plein pot, j’ai du réagir
bruyamment car aussitôt tu me pousses pour entrer, en tenant ton amie par la main, et vous vous précipitez sous la couette… Je demande alors si je dois aller me coucher dans le salon et en
cœur vous me répondez que non et tu soulèves un coin de la couette.
Nous voilà tous trois nus dans le lit, je suis sur le ventre et tu me caresses le dos.
Nous commençons à discuter de la situation quelque peu cocasse. Notre invitée semble finalement gênée et nous avoue ne plus oser ni bouger ni se lever car toute nue et que sa serviette est
restée dans la salle de bain, tu lui dis que finalement c’est peut être le bon moment pour essayer… elle te regarde avec de grands yeux interrogateurs, moi je me retourne ne comprenant rien
et ta main effleure mon sexe qui réagit par un léger soubresaut. Tu commences à m’expliquer : « cette après midi, elle me disait qu’elle aimerait essayer la sodomie mais en douceur,
je lui ai répondu que tu savais vraiment bien t’y prendre », mon sexe se raidit rapidement, et tu ajoutes en te retournant pour t’adresser à elle, « regarde ! » en
relevant la couette, « ça serait dommage de laisser passer une si belle occasion ». Ca doit être mon sexe dressé l’occasion…
L’excitation réchauffe, la couette vole et tu te mets entre mes jambes et commence à me
sucer, je te regarde fixement, n’osant pas croiser le regard de notre invitée, finalement je ferme les yeux pour savourer ce que tu me fais, rapidement je sens bouger à ma gauche et une main
tremblant qui touche ma cuisse gauche, contacte qui devient caresse, ta bouche quitte mon sexe, puis quelques secondes après y revient, la main aventureuse arrive sur mes couilles. Je suis si
raide, je me concentre pour ne pas venir trop rapidement… je sais que le ridicule ne tue pas mais j’aimerais profiter de la soirée. Ta bouche libère à nouveau mon membre et une sensation
nouvelle naît sur mon sexe, je n’ose y croire, j’ouvre les yeux et je vois vos deux langue qui caressent ma queue qui se raidit encore, j’ai l’impression qu’elle va éclater.
Tu t’écartes et notre amie en profite pour prendre ma queue en bouche, je constate
ainsi qu’elle a moins d’expérience que toi, mais le plaisir est tout de même au rendez-vous. Tu t’es levée, elle prend donc place entre mes jambes, je n’aurai jamais imaginé que tu puisses la
laisser me sucer seule, tu viens t’allonger à ma gauche les pieds à coté de mon visage, je lèche ta cheville et commence à caresser ton mollet et remonter en arabesques jusqu'à ton sexe, tout
trempé soit dit en passant, et commence à jouer avec mes doigts… c’est à ce moment que tu nous fait part de ton envie de cuni.
Voulant satisfaire ton envie, et sentant mon sexe presque douloureux tellement gorgé de
sang ces dernières minutes, je commence à me courber, la nouvelle venue dans nos ébats libère mon sexe ce qui me permet de me faufiler entre tes jambes et ainsi laisser ma langue agir sur les
contours de ton sexe, puis laper directement à la source… la petite ingénue vient voir de plus près ce qui se passe, je lève la tête, mes doigts prennent le relais dans ta chatte, puis
sortent recouvert de ta mouille. Je les tends vers la bouche de notre amie qui du bout de la langue vient les goutter, puis les prend en bouche goulûment. Pendant ce temps ma langue est
retournée officier.
A nouveau je me retire et invite le nouveau visage à s’approcher, les joues rouges et
le regard inquiet, elle est visiblement complètement inexpérimentée dans ce domaine. Je lui prodigue donc quelques conseilles et lui indique avec les doigts la fameuse zone que tu apprécies
tant. Elle est bonne élève et semble prendre goût à cette nouveauté.
Je prends un peu de recule et observe ce délicieux spectacle sans dire un
mot.
Une expression me revient en tête : « tu pratiques la sodomie » et pense
au fait qu’elle peut être interprétée dans les deux sens… de la même manière que « j’ai envie d’un cuni » et les grands esprits doivent se rencontrer car ta main guide un genou de
sorte que tu ais pleine vue sur l’intimité de notre invitée. Rapidement, de là ou je suis j’entends le bruit que fait ta bouche sur le sexe offert. Les ondulations de son corps trahissent son
plaisir. Je me lève pour venir voir ce nouveau spectacle.
Tes yeux grands ouverts plein de mille étincelles vont de son sexe à mon visage, comme
une invitation, alors mes mains se posent sur ses fesses, remontent sur ses reins, puis caressent son dos, reviennent sur son cul et massent délicatement les deux fesses. J’écarte pour mieux
voir la corolle de son petit trou, mes deux pouces font des massages circulaires pour détendre l’anus, puis c’est au tour de ma langue de venir taquiner son orifice.
Avec mes deux pouces j’écarte doucement afin de commencer à ouvrir le trou, puis je
retourne jouer avec ma langue, l’enfonçant chaque fois de plus en plus, elle commence à gémir. Toi tu te tortilles pour sortir de dessous son corps, puis tu la guides pour qu’elle remonte
plus haut dans le lit, il faut alors que je monte à nouveau sur le lit, à genoux derrière elle, mon sexe érigé, tu attrapes une capote que tu me tends, ainsi que du lubrifiant, tu me suces un
peu pendant que je lui dépose une bonne dose de gel à l’entrée du trou. Mon indexe titille son anus, ma première phalange est entrée, tu relèves la tête pour profiter du spectacle. Une fois
ma seconde phalange entrée, je fais de petits mouvements pour la détendre, de ton coté tu la caresses et lui parles, lui demandant si tout va bien, à l’expression de son visage tu es certaine
que oui. Je fais maintenant de petits aller retour pour bien lubrifier l’intérieur, et mon doigt pénètre un peu plus profondément, ta main gauche vient soupeser mes couilles et les masser
tendrement afin de maintenir mon érection.
Je retire mon doigt et en présente deux désormais, je force légèrement en faisant de
petit mouvements circulaires afin de dilater progressivement le trou de notre amie. Mes doigts s’enfoncent au fur et à mesure, voyant cela tu viens redonner quelques coups de langue à ma
queue, qui est bien dressée, puis tu poses tes mains sur chacune de ses fesses, les écartes bien et laisse couler un peu de salive que je fais pénétrer avec mes doigts, je me retire pour
enfiler le préservatif, tu remets ta touche personnelle en crachant sur le trou, de mon coté j’ajoute un peu de lubrifiant sur la capote.
Tout est prêt à présent, je présente mon sexe, regarde ton air ravi, et exerce
désormais la pression suffisante à la pénétration, il n’en résulte pas de râle, plutôt même une ondulation qui m’invite à y aller un peu plus franchement, plus de la moitié de mon sexe est
dans son cul, je recule et commence un lent va et vient, en quelques mouvements mon sexe pénètre entièrement la miss qui visiblement y prend du plaisir.
Tu lâches ses fesses et te redresses pour mieux appréhender la scène. Tu lui demande si
c’est bon, un oui presque plaintif sort de sa bouche. Tu lui dis alors que quitte à prendre des plaisirs nouveau, on va pousser l’expérimentation un peu plus loin… en te voyant te lever, je
devine rapidement que tu veux lui faire connaître un plaisir que tu as déjà eu. Mon idée se confirme lorsque tu ouvres le placard, puis le tiroir pour en sortir le gode share. Pendant que tu
te prépares, je sors mon sexe, crache à mon tour dans son trou, fait courir ma langue autour de son anus qui reste légèrement ouvert, puis mon sexe retourne dans son écrin. Tu t’allonges
maintenant à son coté le gode share vaillant, je ne suis pas sur qu’elle réalise ce qui se passe, je sors donc mon sexe et fait pression sur son flanc droit afin qu’elle vienne se positionner
au dessus de toi. Cette fois c’est bon, l’hésitation qu’elle a marqué confirme qu’elle à bien compris, elle passe les doigts sur sa chatte, écarte ses lèvres et fait pénétrer le gros gode
sans sourciller. Je vois sa chatte qui s’écarte autour de l’objet phallique, chaque petit bourrelet (NDLR : version XL du gode share de Fun Factory) qui entre est magnifique à voir, et
lorsqu’elle soulève son bassin pour faire ressortir le chibre noir, je peux constater que la lubrification naturelle est parfaite. La sodomie l’a faite mouiller abondamment. Je profite un
certain temps du spectacle, c’est aussi pour moi l’occasion de me reposé car le n’étais pas loin d’éjaculer. Il est quand même temps de lui procurer sa première double pénétration, alors je
lubrifie ma capote avec de la salive et lèche rapidement son petit trou qui semble détendu. J’entre à nouveau dans son antre, c’est incroyable comme les sensations sont différentes avec le
gode share qui a pris place dans le vagin. Quelques mouvements suffisent à lui arracher des cris de jouissance, son corps tressaille quelques longues secondes avant de s’avachir sur toi. Je
me retire alors rapidement afin de te libérer, elle roule sur le coté et toi tu retire rapidement ma capote et enfourne ma queue dans ta bouche, ta langue agile et ta main qui me malaxe les
boules me font venir rapidement dans ta bouche, et tu avales tout, fièrement en te retournant vers elle.
On s’allonge ainsi tout les trois pour finir la nuit, blotti les uns contre les autres
mais cette fois c’est toi qui est au milieu…
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Si ce texte vous plait, faite le moi savoir, j'en ai une dixaine en réserve...