Elle est là, à quelques pas devant moi les yeux écarquillés, par la surprise mais aussi pour mieux voir dans la pénombre du parking souterrain de la résidence. Et moi, confus, je n’arrive plus à articuler le moindre mot.
Quelle idée j’avais eu de parler sans m’assurer que c’était bien mon amie qui était là ?
Mais trop tard, je suis à poil et menotté les mains en l’air, à un cadre de sommier appuyé au mur dans ce coin reculé du garage. Mon sexe, encore gonflé, à perdu de sa vigueur par l’effet de surprise. Et cette voisine, que je connais à peine, me scrute, un peu perdue elle aussi.
Reprenant mes esprits je lui demande de bien vouloir m’excuser, en précisant que je pensais que c’était mon amie, qui avait décidé de jouer. Sa réponse me rassure un peu, elle se dit prête à excuser beaucoup de choses pour peu qu’elle les comprenne. Alors elle s’approche un peu, pose une fesse sur la capot de la voiture et me rappelle que je lui ai dit que j’y étais presque, elle veut tout savoir.
Il faut remonter plusieurs mois en arrière. J’étais sexuellement très actif avec une amie. Tantôt nos jeux étaient spontanés et improvisés, tantôt plus préparés et scénarisés. Un jour elle me demanda si je pensais être en mesure de jouir sans stimuler ma verge, pas de pipe, pas de branlette. Ma réponse fut affirmative, mais sans certitude. Je pense que c’était là l’origine de ce qui m’avait conduit ici, car jusqu’à présent aucun jeu n’avait eu de rapport avec cette question.
Sans aucun lien, nous avions changé de lit, quelques lattes étaient cassées. L’ancien sommier était constitué de deux structures métalliques de 80 centimètres sur 200, j’en avais dissocié les deux coté, intégralement retiré les lattes d’un côté et complété l’autre pour faire un lit d’appoint chez ma mère. J’ai conservé les lattes en rabe, pensant que c’étaient de bonnes alternatives aux cravaches. Et mis le cadre « nu » dans le garage, avec dans l’idée qu’il servirait bien un jour à construire quelque chose, peut-être dans un futur donjon avais-je secrètement en tête.
Il y a un bon quart d’heure, tout c’est assemblé. Mon amie m’a demandé de me mettre torse nu, sur un ton autoritaire que je connais bien. J’étais psychologiquement prêt à passer un moment torride. Elle me demanda de la suivre, nous sommes sorti de l’appartement et avons pris l’ascenseur pour aller au garage. Elle me caressait le torse, passant la main dans mes poils, descendait plus bas pour masser mon sexe à travers mon pantalon. Puis elle m’a amené dans ce coin ou j’ai vu nos véritables menottes avec lesquelles nous jouons de temps en temps qui pendaient en haut du cadre du sommier. C’est plus souvent moi qui l’attache, mais cette fois je savais qu’elles m’étaient destinées.
Quelques secondes plus tard j’étais attaché les bras en l’air, et elle jouait avec mes tétons, l’excitation montait en flèche. Elle baissa mon pantalon, puis pour attiser mon érection elle souffla de l’air chaud à travers le fin tissu qu’il restait sur mes parties intimes. Prétextant de me mettre vraiment à l’aise elle retira chaussures et chaussettes puis sans prévenir elle libéra ma bite, glissant le dernier rempart à ma nudité jusqu’à mes pieds qu’elle me fit soulevé pour me laisser intégralement nu.
A la fois stressé par le lieu et extrêmement existé, je me laissais faire alors qu’elle m’écartait les jambes et attachait mes pieds au cadre avec des cordes, ses cheveux venaient caresser ma queue lui conférant encore plus de dureté.
Elle se recula en ramassant mes vêtements, m’admira et me complimenta pour mon érection. En tournant les talons elle me dit simplement qu’elle reviendrait dans un moment et qu’elle ne me détacherait que lorsque j’aurais éjaculé sur le sol.
Au fur et à mesure que je contais mon histoire, je me détendais et j’ai senti que mon sexe se dressait à nouveau. Ça n’échappait pas non plus aux coups d’œil de ma voisine. Ses attitudes changeaient aussi, j’avais l’impression de voir la naissance d’une chienne en chaleur.
D’une voix claire elle me dit que nous avons des jeux intéressants et que je suis excusé. Puis elle me demande comment elle pourrait m’aider.
Je ne vois que deux solutions, la première serait de me couvrir pour éviter que d’autres ne me voient ainsi, et la seconde serait de me stimuler afin que mon amie puisse constater le résultat et ainsi me détacher.
Elle se lève et vient se coller à moi pour me susurrer à l’oreille que la seconde lui va très bien. Ses caresses sont douces, elle me dit que mon corps est chaud. Pour me stimuler elle me mordille le lobe. Elle sait s’y prendre, je sens que je vais vite pouvoir conclure, toute mes pensées se mêlent pour obtenir une jouissance rapide. Sa main gauche coure dans mon dos et frôle mes fesses, alors que sa main droite s’attèle à jouer avec mes tétons. Elle penche la tête pour venir lécher et mordiller celui de droite. Sa main glisse jusqu’à fleur de mes poils pubiens. D’une voix suave elle me demande de lui confirmer ce qu’elle sait déjà, oh oui je me sens bien. Elle me demande aussi si le but c’est bien que mon amie n’en sache rien, je n’en sais rien, alors je réponds que c’est probable. Alors sa main s’aventure à passer à l’intérieur de mes cuisses, effleurant mes testicules, ce qui provoque un soubresaut de ma verge. Sa main gauche se contente désormais de mes fesses, tour à tour caressées ou pétries. Mes couilles sont dans maintenant dans sa paume, elle les soupèse, les enserre ou encore les caresse. Je suis déjà aux anges, d’un doigt elle longe mon phallus, je l’invite clairement à me branler. Comme c’est bon, elle s’accroupit pour encore plus d’efficacité, je ferme les yeux, ma jouissance est proche. Je lui demande d’accélérer, oh oui je vais venir, je... je… je sens sa bouche qui gobe mon sexe et qui récolte tout le nectar. Ah c’est si bon.
Mais je réalise rapidement qu’il fallait que j’éjacule sur le sol. J’ouvre les yeux, sous l’effet de la jouissance je vois milles étoiles et distingue son air ravi. Elle se relève et me dit : « Comme ça, t’es pas prêt de bouger d’ici mo coco. J’ai une course à faire, moi aussi je repasserai… », et me laisse seul, ainsi, la queue en berne.
Me voilà dans de beaux draps. A peine une minute plus tard j’entends des bruits, cette fois je fais le silence radio, et je fais bien car j’entends une voiture qui démarre et qui file. Pendant quelques minutes j’essaye de remonter le drapeau, je pense à cette bouche somptueuse, à toutes les caresses les plus délicates, mais rien n’y fait.
A nouveau une porte claque, les pas viennent vers moi et s’arrêtent, et une tête passe le coin du mur. C’est mon amie qui vient inspecter, elle constate que ça manque d’entrain, elle s’approche une main dans le dos. Je lui demande, presque l’implore de me détacher, avouant que je n’y arriverais pas, mais me gardant de préciser ce qui c’était réellement passé. Mais elle avait prévu que je serais peut-être un peu mou, c’est un plumeau qu’elle avait dans le dos. Sans mots dire, elle en use rapidement en parcourant mon corps de caresses, pas de doutes un passage sur les fesses fait toujours son effet, me voilà en meilleur posture, en guise de point final à sa visite, elle en joue même sur mes couilles me parant ainsi d’une nouvelle érection, mais je sais que ça ne suffira pas. Ce n’est même plus la peine de lui parler, elle vient de se mettre un casque audio sur les oreilles.
Avec cette nouvelle vigueur je tente tout de même d’arriver à ma fin, mais j’ai bien peu d’espoir. La porte du garage s’ouvre de nombreuses fois ce qui me fait paraitre le temps bien long, mais d’un autre coté je commence à m’y habituer et je suis de moins en moins stressé. Ma queue est entre la mi molle et la raide, encore une fois la porte intérieur claque, cette fois je stresse les pas s’approchent, une ombre est visible, et c’est la voisine qui est de retour, un sac de la pharmacie à la main. Elle me signifie qu’elle est contente, elle avait peur que le cadre n’ait été décroché du mur. Je réalise à ce moment que je suis en effet un peu comme un tableau posé au mur. Est-ce là une métaphore souhaitée ? Bref, je n’ai pas le temps de réfléchir car elle s’approche rapidement, me demande si elle ne m’a pas trop manqué tout en me caressant la bite. En s’adressant à ma queue elle lui dit qu’elle a beaucoup pensé à elle, qu’elle a encore son gout en bouche.
Elle a une surprise pour elle, elle cherche et sort de son sac un spray qu’elle se pulvérise en bouche et avec une grande curiosité dans le regard en projette aussi sur mon gland, le frais le fait bondir d’un coup. Ça l’amuse, elle recommence une fois pour jouer, puis l’enfourne dans sa bouche rafraichie par le spray. La sensation est surprenante, en quelques instants ça passe du froid au chaud. Mon sexe est de nouveau bien tendu, la voisine y va franco, enfonçant ma bite dans sa gorge jusqu’à la garde, elle me taille une pipe sonore. Elle se recule un instant et admire son travaille, toujours en s’adressant à ma queue, elle lui dit qu’elle est bien belle maintenant et qu’elle a ce qu’il lui faut. Pendant qu’elle fouille dans son sac, je pense à mon amie qui ne va surement pas tarder à revenir, mais je suis bien curieux de voir la surprise.
Elle extirpe de un sachet de chouchou pour les cheveux, l’ouvre et en attrape trois, elle les élargit d’une main et saisit ma bite de l’autre. Elle fait glisser les élastiques jusqu’à la base pour s’en servir de cockring et adroitement mais non sans difficulté s’arrange pour faire passer mes couilles à l’intérieur, ils sont juste à la bonne taille. Elle en reprend deux qu’elle réduit de moitié, et qu’elle roule sur mon phallus qui reste bien droit. Sentant qu’elle compte s’occuper de moi pendant un long moment, je proteste, je ne voudrais pas qu’il y ait de problème avec mon amie. En guise de réponse ma voisine se relève et se retourne pour retirer son string de sous sa jupe, elle en profite pour m’offrir une vue à en damner un saint ! Je reprécise que ce n’est pas une bonne idée. Elle s’approche et flatte mon érection avec la douceur de son sous vêtement, j’ai bien du mal à continuer de la dissuader, un instant plus tard j’ai son string dans la bouche en guise de bâillon. Elle me prévient que je n’ai vraiment intérêt à le cracher ! Son ton est si ferme et déterminé que je ne luterai pas.
Elle se retourne vers son sac et s’y penche, la vue est réjouissante. Je ne sais plus sur quel pied danser, mais à vrai dire, ai-je le choix ? Alors j’admire, je m’imagine la choppant par les hanches et la défonçant à grands coups de reins. Est-ce qu’elle ma vue ? En se retournant elle me fit un large sourire, puis se baissa pour reprendre une bonne pipe en gémissant de contentement. Je sais que je suis gorgé au maximum, mais que je ne suis pas prêt à jouir. Satisfaite de son travail, elle prit un peu de recul et s’affaira, je sais enfin ce qu’elle a pris dans le sac, une capote. Avec une précision d’orfèvre elle déroule le préservatif bien en place. Elle glisse une main sous sa jupe puis me fait sentir se doigts, elle réitère l’opération, mais cette fois me retire le string de la bouche pour me les faire lécher, mais remet rapidement le bâillon en place. Elle me laisse juste entendre que c’est à son tour maintenant, avant de se tourner dos à moi et s’empaler sur son gode mural.
Elle est vraiment très excitée, sa chate est bouillante et ça glisse comme jamais, rapidement elle gémit. Pour ne pas la laisser en reste je donne de petits coups de reins dans la mesure du possible. L’effet est immédiat, des petits cris sont expulsés et elle pose une main sur la voiture pour mieux s’enfoncer. Je peux alors y aller plus franchement, je tape bien au fond et je suis certain qu’elle jouit depuis un moment et prolonge son plaisir. Je donne un bon coup, elle laisse échapper un cri plus puissant et la porte claque. Nous nous stoppons net, je sens son sexe qui palpite sur le mien, ou le contraire je n’en sais rien. Et soudain c’est mon amie qui nous regarde avec un regard de furie. La voisine, bien qu’haletante, ne se démonte pas et lui dit que c’est ce qu’on risque quand on laisse trainer ses jouets. Et encore tremblante elle se dégage de mon sexe encore bien raide et ajoute, regarde, je ne l’ai pas cassé et en plus je l’ai bien protégé… Je ne sais pas si c’est le ton ou les mots, mais j’ai vu le visage de mon amie se détendre légèrement. Je pense qu’elle se demandait pourquoi je ne parlais pas car son regard s’est lourdement porté sur mon visage, avec suffisamment d’insistance pour que la voisine le repère et réalise que j’ai toujours mon bâillon. Alors d’un geste elle récupère et secoue sont string en disant : « Eh oh, c’est à moi ça » et le renfile sous sa jupe.
En même temps qu’elle range ses affaires, la voisine explique qu’elle m’a surpris, soutiré des explications et que notre jeux l’a excité alors qu’elle a décidé de tirer profit de la situation. Elle est tellement sincère et glisse une pincée d’humour dans son récit, si bien que mon amie finit même par sourire. Et en conclusion elle lance qu’avec le traitement qu’elle m’a administré, je ne suis pas prêt d’être détaché, et que si le jouet reste là encore longtemps elle risque de passer du temps au garage.
Elles finissent par discuter, et même rire de la situation et finalement elle décide qu’il faut me détacher, mais pas sans avoir jouit au sol ce qui était la condition de ma libération. Alors toute deux se mirent à retirer la capote et les chouchous avant de me branler. Chacune y ajoutant ses petits pincements de tétons, ses mains sur les fesses, ses bisous dans le cou, ou encore son malaxage de couille et caresses entre les cuisses. La branlette est de plus en plus active, elles me crachent dessus pour lubrifier, mon sexe est gonflé à bloc, il me fait presque mal, et enfin je fini par être secoué de quelques spasmes avant qu’une petite dose de sperme n’échoue sur le sol.
Il est temps de me détacher, il reste encore à rentrer, j’ai la tête qui tourne. Les filles ont le sourire jusqu’aux oreilles alors qu’elles m’envoient au front pour appeler l’ascenseur toujours à poil… et ce n’est que le début, dans l’ascenseur elles s’embrassent goulument. De nombreuses facettes de ma sexualité ont déjà été stimulées comme l’exhib ou la soumission, mais déjà voyeurisme face au jeux lesbiens et je suis certain que les godes ne tarderont pas à sortir, accompagnés des cravaches et lattes de sommier. Et peut-être même…
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